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GAILLARDON, vidant son verre et se levant aussi.
D’accord. Entre gens de conscience, on s’entend toujours, n’est-ce pas ?
Il rejoint Répin qui se dirige vers la sortie.
RÉPIN, sur le seuil, parlant dans la cour.
Qu’est-ce qu’il y a ?
AUGUSTINE, paraissant, venant de gauche.
Not’maître, c’est Arthur qui ramène la grise qui vient de s’abîmer le genou.
RÉPIN.
Crédié ! une si belle jument !
Il disparaît, suivi de Gaillardon.
Scène II
MADAME RÉPIN, AUGUSTINE, puis HENRIETTE
et MARIE.
et MARIE.
MADAME RÉPIN, à Augustine qui est entrée.
Comment que c’est arrivé, ce malheur-là ?
AUGUSTINE
Je ne le sais point. C’est au retourner de l’abreuvoir, qu’m’a dit Arthur. La grise aura butté.
MADAME RÉPIN.
C’est-il grave ?
AUGUSTINE
Je ne le sais point. C’est Arthur qui m’a dit que ça ne serait peut-être pas une grande affaire.