Page:Renard - Le carnaval du mystère, 1929.djvu/146

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
138
le carnaval du mystère

c’était d’avoir entendu au-dessus de ma tête, parmi les fracas du désastre, une sorte de sifflement, comme celui d’une faulx qui coupe l’air.

Je pense qu’il n’y avait pas de faulx. Ce qui est certain, pourtant, c’est que la Mort m’a manqué, cette nuit-là.