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PROLOGUE-ÉPILOGUE
e corps fut trouvé par les gendarmes
Mochon et Juliaz, des brigades de
Belvoux. Ils rentraient, au petit jour, d’une
tournée de surveillance, et, venant de Salamont,
ils chevauchaient sur la route départementale,
lorsque, à six kilomètres de
Belvoux, dans le bois des Thiots, ils aperçurent
la chose lugubre.
L’aube était grise. La pluie, qui tombait depuis plusieurs jours, n’avait cessé que la veille au soir. Un vent aigre fronçait l’eau des flaques et tourmentait les feuillages éclaircis. Retenu par une touffe de char-