Page:Renard - L’Œil Clair, 1913.djvu/105

Cette page n’a pas encore été corrigée
101
LA VISITE AU POÈTE


qu’il écrive le soir, à la veillée, au lieu d’aller se coucher ; moi, je ne pourrais pas.

— Vous ne le reconnaissiez donc plus ?

— Si.

— Vous ne lui avez rien dit !

— Je n’aurais jamais cru, répond Philippe, qu’un homme comme lui, c’était un poète.