de sommeil. Il y a de l’eau dans ses coquilles. Je donne le programme :
1o Entre le premier et le second déjeuner, bain ;
2o Le soir, promenade ou pêche.
Je montre sur une carte d’état-major le tracé des promenades, et j’ai préparé les lignes, foui des vers.
— « Mais, dis-je, troublé tout à coup, il me semble que, dans cette vie active et si remplie, j’ai oublié de faire la part de mes travaux ! »
Vous travaillerez à Paris.
Non, ne l’empêchons pas de travailler. Je me le reprocherais toute ma vie !
Comme il s’est fait lui-même tout seul, il veut que j’arrive à la force du poignet.
C’est convenu. Je m’enfermerai chaque matin deux heures dans ma mansarde. Ma tâche accomplie, je rejoindrai mes amis sur la plage.
— « D’ailleurs, dis-je, vexé qu’on m’ait pris au mot, il me reste ma nuit. »
Ces dames sont inquiètes. Est-ce que je pas-