« Naïf, j’aurais dû… » Oui, à propos ! peut être que la violence !
Dame !
Oh ! non, ne vous repentez pas, laissez en paix la force armée.
Vous savez, on dit toujours ça, pour faire l’homme. En réalité…
Vous seriez aussi gêné que moi. Je vous connais, votre imagination a une envergure d’aigle et un appétit de moineau. Il vous suffit de déplacer un meuble pour croire que vous déménagez, et d’ouvrir la fenêtre pour croire que vous êtes libre. La liberté dehors fait trop de poussière.
Faut-il s’en entendre dire ? Vous devenez bien mauvaise.
Et il vous suffit de baiser la main d’une femme pour croire que vous trompez la vôtre. (Elle lui tend la main.) Tenez, mon ami, voilà !
C’est une petite, toute petite, toute mignonne compensation.
