— ... Défendu aux Romains de prendre toujours des tas de places.
— Ensuite ?
— Ensuite Vercingétorix, quand il a vu qu’il avait perdu la bataille...
— Tu vas un peu vite.
— J’aime mieux te dire ça d’abord, je te dirai le reste à la fin. Il prend son plus beau cheval, et il arrive vers le roi.
— Le roi ?
— Oui, le chef, César.
— Très bien.
— Laisse, dit Berthe, tu me trompes...
Il jette ses armes et son sabre à ses pieds et il lui crie : « A la condition que tu épargnes mes guerriers. » Mais César, qui était méchant...
— Pourquoi fais-tu cette grimace ?
— Parce que César était méchant... lui a coupé la caboche, et ils se sont encore battus...
— César et Vercingétorix ?
— Leurs peuples ! leurs peuples !... et les Romains ont été forcés d’emprunter aux