qui peut-être nous ont un peu manqué l’an dernier et aussi à faire valoir ses droits et ses privilèges. Mais en voilà, je pense, assez sur ce chapitre, passons à autre chose. Vous saurez que M. Dupanloup a obtenu dernièrement de Louis-Philippe la permission d’avoir cent élèves de plus dans la maison, en sorte que désormais nous ne sommes plus exposés à aucune tracasserie sous ce rapport. Une telle augmentation a été et devait être regardée comme une faveur spéciale de Dieu et de la sainte Vierge.
Une petite confidence : Guyomard, à peine arrivé dans la maison, s’est fait tout de suite au régime et au règlement si doux du séminaire, et sur la demande qu’on lui a faite de demander son excorporation à Saint-Brieuc, après y avoir mûrement réfléchi, surtout pendant la retraite, il a cru devoir la demander, et il l’a obtenue. Le cher Liart, pour des raisons que je ne dois pas pénétrer, a cru devoir différer et MM. les directeurs du séminaire y ont consenti volontiers. Je ne crois pas que les parents de Guyomard en sachent rien, aussi je vous prie de ne pas leur en parler,