Page:Renan - Histoire des origines du christianisme - 2 Les Apotres, Levy, 1866.djvu/262

Cette page a été validée par deux contributeurs.

pable d’une trahison ; mais les bonnes et médiocres natures éprouvent toujours un sentiment de défiance et d’effroi à côté des natures puissantes et originales, qu’elles sentent bien devoir un jour leur échapper.