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— Il me semble, monsieur, que vous pourriez me saluer.
son mariage et l’avait chassée de l’empire, et c’était lui-même qui lui avait adressé et recommandé son fils Romuald.
Le jeune comte avait vingt-trois ans à peine, mais on lui en eût donné moins encore, tant il était doux, timide, presque trop beau pour un homme.
Son père, qui appartenait à l’opinion libérale, désirait vivement que son fils se mariât en France et s’y fixât, afin d’échapper au despotisme de l’autorité impériale.
Romuald de Platen était donc arrivé à Paris armé d’une foule de lettres d’introduction, et il avait été immédiatement reçu dans les salons les plus aristocratiques,