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donné », elle se contenta de s’écrier, en douairière du grand siècle, un peu sceptique :

— Robert a rendu l’âme ! Eh bien ! c’est peut-être la seule chose qu’il ait restituée, et c’est bien certainement la seule gracieuseté qu’il ait jamais eue pour sa femme !

Nous savons que, par sa mort héroïque et son repentir, le duc de Blangy-Portal s’était rendu digne d’un plus sympathique adieu !


FIN