en Étrurie, mais non à Glozel. Un vaste champ d’études s’ouvre ainsi à la paléographie comparée.
La question de la date du gisement de Glozel, assez homogène pour qu’on ne lui attribue pas une longue durée, est de celles qu’on ne peut esquiver ; les conclusions qui s’imposent sont nettement contraires à celles de la plupart des préhistoriens.
Glozel se rattache au bel âge du renne — le magdalénien des auteurs — par la persistance et les caractères de l’art animalier. Il peut y avoir dix siècles d’intervalle entre les gravures de Glozel et celles de la Madeleine, comme entre les reliefs du Bas-Empire et ceux du siècle de Périclès, mais c’est encore assigner une durée bien longue à une décadence.
D’autre part, la présence de l’idole néolithique rapproche Glozel non seulement des grottes de la Marne et des statues-menhirs, qui datent des débuts