Page:Reid - Aventures de terre et de mer, Hetzel, 1891.djvu/682

Cette page n’a pas encore été corrigée

La clarté qui m’arrivait… (Page 90.)


CHAPITRE XX
UNE CAISSE DE MODES


Ce fut bientôt fait. Au fond se trouvait une grande caisse ; à droite une caisse semblable ; à gauche, la partie tronquée du piano. Mais que m’importait tout cela ? C’est le plafond de cette petite chambre qui seul m’intéressait, puisque c’est dans cette direction que je me proposais de continuer mon tunnel, « Excelsior ! Excelsior ! me répétai-je sans cesse. Encore deux ou trois étages, peut-être moins, et je suis libre ! » Cette perspective me faisait battre le cœur.

Ce ne fut pas sans crainte que je portai mes mains au plafond. Mes doigts tremblèrent et je les retirai involontairement. Bonté divine ! encore un ballot de cette toile maudite.

Au lieu de perdre mon temps à faire des con-