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« Ne soyez donc pas si inquiète, ma chère mère… » (Page 6.)


Ni Ludwig, ni sa mère ne firent d’opposition au généreux désir de Cypriano.

« Pars, mon enfant, lui dit sa tante, et que Dieu veille sur chacun de tes pas.

— Oui, pars, lui dit Ludwig à l’oreille, et combien je voudrais partir avec toi ! mais je n’ose abandonner ma mère dans cette maison que rien ne protège.

— Elle ne te laisserait pas partir, » lui répondit Cypriano en se jetant dans ses bras.