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ACTE VII
LA FUITE D’ARYAKA FAVORISÉE
Maitreya. — Voyez, mon ami, comme est beau le jardin Pushpakarandaka !
Chârudatta. — C’est vrai, mon ami ; « Les arbres ressemblent à des marchands ; ils étalent leurs fleurs comme des denrées à vendre (1) et les abeilles qui voltigent alentour sont pareilles aux collecteurs qui viennent prélever le tribut (2). »
Maitreya. — Si vous vous asseyiez sur cette pierre unie ; c’est un siège naturel (3), mais qui n’en est pas moins agréable.
Chârudatta, s’asseyant. — Ami, Vardhamânaka tarde beaucoup.
Maitreya. Cependant, je lui ai donné l’ordre de prendre Vasantasenâ et d’arriver le plus vite possible.