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NOTES SUR LE SIXIÈME ACTE





(1) Comm. C’est l’expression de quelqu’un qui ne se rend pas compte que l’aurore se lève : prabhâtaratrim ajânantyâh iyam uktih ; idânîm râtrir evâsti katham prabhâtam jâtam ity arthah.

(2) Comm. esha prabhâtah. Stenz. etat prabhâtam.

(3) Comm. ku ra[illisible] punah. Stenz. kva.

(4) Comm. râtrau prakâçavirahena sushtu na nirdhyâtah (Stenz. nidhyâtah) na drshtah. — Comm. Le sommeil l’ayant empêchée de bien se rendre compte de l’endroit où elle est, elle dit, « suis-je entrée, etc. » : prâtarnidrâpramattâ prâha hanje kim iti.

(5) Comm. Parce que j’ai accepté le collier de perles : yato mayâ ratnâvalî grhîtâtah samtapyate iti bhâvah.api praçne ; parijanah dârâdih. — Le sens est fixé par l’enchaînement des questions et des réponses : idam eva praçnottarâbhyâm anupadam eva sphutam iti bodhyam buddhaih. — Chacune poursuit son idée, Vasantasenâ pense au collier et l’esclave n’a en vue que les regrets dont son départ sera suivi.

(6) Comm. Si j’étais partie en emportant le collier j’aurais éprouvé un grand chagrin en apprenant celui qu’aurait ressenti la famille de Chârudatta, aussi faut-il que je le lui évite en m’affligeant la première, c’est-à-dire en rendant le collier : grhitaratnâvalîkâyâm gatâyâm