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LE CHARIOT
DE TERRE CUITE
ACTE III (1)
L’EFFRACTION.
Vardhamânaka, apparaissant sur la scène (2).
« L’homme de bien a beau n’être pas riche, il n’en est pas moins rempli de bonté pour ses serviteurs ; tandis que celui qu’enorgueillissent les richesses, qu’endurcit la prospérité, devient malfaisant et cruel (3).
« Car la nature ne change pas. Peut-on empêcher un bœuf de vouloir aller dans un champ de blé ? Un amoureux de courir après la femme d’autrui (4) ? Un joueur de se livrer à sa passion ? Un homme dont le caractère est vicieux de s’abandonner à ses défauts (5) ? »