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La fin de cette pièce a fait remarquer que les comédiens ne prenoient encore que quinze sous au parterre, et que l’usage de donner la comédie gratis dans les réjouissances publiques étoit déjà établi. On peut, d’après la même scène, ajouter à ces remarques, qu’aux loges et au théâtre il n’en coûtoit que trente sous, et que les Italiens ne doubloient pas le prix des places à leurs premières représentations.