Je ne dis pas cela… Allons.
Ils chantent ensemble.
Cupidon ne sait plus de quel bois faire flèche. Cela ne vaut pas le diable.
Bégayant.
Cu, cu, cu.
Cu, cu, cu… Voilà un air bien puant.
Allons, monsieur, tout de bon : cu, cu, cu… Chantez donc juste, si vous voulez.
Oh ! Chantez juste vous même ; je sais bien ce que je dis. Est ce que je ne vois pas bien qu’il faut marquer là une dissonance, et que l’octave s’entrechoquant avec l’unisson, vient à former un dièse bémol. Mais, voyez cet ignorant !
Monsieur, avec votre permission, si les musiciens n’en savent pas plus que vous, ce sont de grands ânes.
Plaît il, mon ami ? Savez vous que vous êtes un sot par nature, par bémol et par bécarre ? Je vous apprendrai à insulter ainsi la croche française.
Un sot ! À moi !
Il donne de son chapeau dans le visage de Trotenville.
Par la mort ! Par le sang !… Mesdames, je vous donne le bonsoir.
Il s’en va d’un côté, et Amilaré de l’autre.