Par civilité ?
Par civilité. Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu’elle ne fût malsaine, à cause de l’humidité.
Il avoit raison.
Voyant qu’il faisoit difficulté de rester dans cette chambre-là, et qu’il étoit si civil, je le conduisis dans une autre, qui donne sur la rue, au-dessus de l’écurie.
Par civilité ?
Par civilité. Il me témoigna encore qu’il ne pourroit pas y coucher, à cause qu’étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourroient interrompre son sommeil pendant la nuit.
Ouais ! Voilà un homme bien difficile à coucher.
Peut-être pas tant que vous pensez.
Je trouvai qu’il n’avoit pas mauvaise raison ; car quand on repose, comme vous savez, on n’est pas bien aise d’être interrompu. Voyant donc qu’il avoit besoin de repos, et qu’il continuoit toujours avec les