des Quinze-Vingts, qui vous sert de robe de chambre ?
Il y a longtemps qu’elle étoit neuve. J’ai déjà dit trois ou quatre femmes que j’avois besoin d’un surtout de toilette : il y a bien du relâchement dans la galanterie ; et les femmes commencent à se décrier furieusement dans mon esprit. Oh ! Nous ne vivrons pas longtemps bien ensemble.
À propos de robe de chambre, tandis que vous dormiez, madame la marquise de Noirchignon vous en a envoyé une.
Voyons-la.
MEZZETIN va prendre une robe sur la toilette, et la déploie.
Passe. La pauvre créature fait tout ce qu’elle peut pour m’égratigner le cœur,
Il est aussi venu’ un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette.
Il tire une toilette où est encore une robe de chambre.
Diable ! Celle-ci est bien mieux étoffée que l’autre. La Comtesse pourroit bien me faire faire la sottise de l’aimer. Mais il ne fait pas si cher vivre à Paris ; tout s’y donne.
On frappe rudement à la porte.
