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lequel, et non après la messe, comme dans Cluny et dans Cîteaux, on a toujours béni le lecteur dans ce célèbre monastère : et qui dit ce monastère, dit en même temps, à cet égard, la congrégation de sainte Justine, celle de saint Vennes, celle de saint Maur, et Cluny-moderne, qui toutes ont adopté ce sentiment et sont entrées dans la pratique de ne faire la prière sur le lecteur qu’après Sexte : laissant à penser par conséquent qu’elles n’expliquent point ces termes, de la messe et de la communion eucharistique ; car on leur doit cette justice, de croire qu’elles agissent selon qu’elles sont persuadées, et on vient de voir au contraire que Cluny et Cîteaux, qui ont entendu