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parfaite les infirmités les uns des autres, soit qu’elles soient dans le corps, soit qu’elles soient dans l’esprit (Rom. 12) ; et qu’ils se rendent a l’envi une obéissance exacte. (Philip. 2.) Que nul ne fasse ce qu’il croit lui être bon, mais ce qu’il juge être utile à son frère : qu’ils se donnent entre eux des marques d’une amitié toute chaste et toute pure ; qu’ils craignent Dieu ; qu’ils aiment leur Abbé d’un amour humble et sincère tout ensemble ; et qu’ils ne préfèrent jamais rien à Jésus-Christ, auquel il plaise de nous accorder à tous tant que nous sommes, l’éternité de ses Saints. (2. Pet. 1.)


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