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S’il arrive que l’on ordonne à un Frère des choses trop fortes, ou même impossibles, il faut qu’il reçoive le commandement qu’on lui fait, avec toute sorte de douceur et d’obéissance. Que s’il voit qu’elles excèdent entièrement ses forces, il représentera à son Supérieur les causes de son impuissance, sans émotion et avec toute la circonspection possible, et non point en lui témoignant de l’orgueil, de la contradiction ou de la résistance. Que si le Supérieur, après la remontrance qu’il lui