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PIŒFATIO.

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Tomi n» xxxi, quanti œstïman- connoître dans la préface du Tome dzim sit d~irdzznense Chronicon Ru- XIe n° xxxi, toute l’importance de la gonil Flaviniacensis in Eduensi Chronique -de Verdun composée par Episcopatu Jbbatis, satis declara- Hugues Abbé de Flavigni dans le diovùruu. Dicta hic replicare super- cèse d’Autun. Il seroit inutile de répéfluumest.ldmonitumsufficiatopeter ici ce que nous disions alors ; il

ris,inanno 1102 terminant haben- suffit d’avertir que nous donnons la tis, nos hic edere posteriorem adeo- dernière partie de l’ouvrage qui finit quepotiorempartem,cùmeadequi- en 1102, et par conséquent la meilhuscertiorfieridebueritJuctorreleure puisqu’elle contient les faits

censeat. Cum Hugonis Chronico ni- dont l’auteur a dû être le mieux inshil est quod conferas, quantum per- trait. Nous n’avons rien de comparable tinet ad xn sseculi historiam eccle- à la Chronique de Hugues pour l’hissiasticam, ac prsesertim turbarum toire ecclésiastique du xie siècle, surnotitiam,quibus agitati fuerunt tres tout pour la connoissance des troubles quos vocant Episcopatus et Eccle- qui agitèrent les trois Evêchés et les sise alise- quœ Imperatoris ditioni autres Eglises qui étoient sous la doparebant, ob famosam de investi- mination de l’Empereur pendant la turis controversiam. Nemo etiam fameuse contestation des investitures. Hugone vehementiiis insectatus est Personne aussi ne s’est élevé avec plus Phdippi I Régis Francorum incestas de force que notre écrivain contre le et adultéras cum Bertrada nuptias mariage incestueux et adultère de Phinec ipse quidem Ivo Carnotensis lippe I avec Bertrade, pas même Ives qitem Philippo haudquaquam in- de Chartres, qui, comme l’on sçait, dulsisse nemo nescit. Nec indigne- n’usoit pas de beaucoup de ménagetur inquit, erga nos quispiam ment avec le Roi. « Que personne quod quasi regia a nobis carpa- dit-il, ne s’indigne contre si ur vita, aut laceretur tante ma- » j’ose censurer amérement la conjestatis vel nominis excellens HnitP du Roi, sans égard pour le auctoritas. Si sileat schedula ™* f ?rd

tota conclamabit Francia imo nom et la ^^e du trône. Quand tota occidens unâ Francia fa- »on nous emPe^eroit d’écrire la totus occidens unâ intonabit fà- entiere éléveroit la voix la ma, quod Rex, legitimo abdi- Francf entiere éléveroit la voix, et cato matrimonio, regia ? stirpis a tout l’occident ne pourroit ignorer le uxore repudiatâ, thori fide vio- »crime du Roi qui, au mépris de la sainlatâ, regii cubilis decore ob- B teté du mariage, d’une épouse issue de nubilato, regii germinis splendore » sang royal, et de la fidélité conjugale, obfuscato, Comiti suo Andega- » n’a pas craint, à la honte de la couche vensi uxorem subripuit, militi » royale et des rejettons qui devoient utique suo, cui fidem promise- » en sortir, de ravir au Comte d’Angers rat et carnis consanguinitate » son épouse, quoiqu’il lui dût la fidélité propmquo, adeô ut ex una parte » comme à son vassal et son proche parent in tertio, et ex alia in quarto (a) » au troisième et quatrième degré (a). propinquitatis sanguine necte- » Tandis que l’autorité royale n’a emji) Consanguineus Fulconis in tertio gradu Philippus erat ex av ia Constantia, Roberti Regis ^hùZ^^l f1* et Guillelmi Ferri-sectoris Tolosani, non vero Arelatensis, Comitis filia. Ipsa ver’o Arsindis amita Fdconis erat in quarto gradu. En utriusqueprosapise seriem. ArsindissiveBlancha. Gaufridus Grisagonella.

Constantia Franciae Regina. Fulco Nerra, Comes Andegav. Henricus Rex. Comitissa Vastinensis. °

Philippus Rex. Fulco Richinus.