PRiEFATIO.
lix
Genealogia
Caroli Magni.
Chronicon
S. Huberti.
Gesta sancti
Trudonis
Abbatum.
elle n’est pas exempte de fautes nicon istud, haud errorum immune comme nous croyons l’avoir fait assez est, ut ex subjectis notis apparet. remarquer dans les notes.
XXXI. La généalogie ou descen- XXXI. Quant exhibemus pag. dance de Charlemagne que nous don- 585 Caroli Magni genealogiam seu nons page 585, est plus étendue que ductumab eo per seriemgenus, latiàs celle qui est imprimée sous le même ed patet quse sub eodem titulo a nobis titre Tome XI page 205. On voit Tomo XI, pag. 205 edita est. In dans l’une et dans l’autre comment utraque verb animadvertere est quo les Comtes de Namur, ainsi que ceux pacto e stirpe Caroli Magni per lide Louvain et de Boulogne sont issus neam fœmineam orti fuerint Nade la lignée de Charlemagne par les murcenses Comites, itidem ac Lovafemmes. Ce morceau sert à remplir nienses et Bolonienses. Atque hoc une lacune de la généalogie de Saint- excerpto lacuna completur quse in Arnoul page 647 de ce volume, à genealogia S. Arnulphi pag. 647 l’article de Gerberge fille de Charles occurrit, ubi de Gerberga filia CaDuc de Lorraine. roli Lotharingise Ducis agitur. XXXII. Nous croyons qu’il n’y a XXXII. Chronici Monasterii rien à ajouter à la notice que nous avons S- Huberti siveAndaginensis notitiss, donnée de l’histoire de l’Abbaye de a nobis in prsefatione XI Tomi n° Saint-Hubert, dans la préface du Tome xxxm contexte, superesse nihil XIe n° XXXIII. L’ouvrage finit en addendum existimamus. Anno illud 1106, et n’a pas été continué. Ce que 1106 terminatur, nec ab alio ullo nous en donnons est peu de chose, seriptore continuatum est. Paucasunt parce que notre objet n’est pas de re- ?Mâ ? ex iUo huc inferimus, propocueillir les faits particuliers à un Mo- sito nostro Monasterii cujusvis notinastere, qu’autant qu’ils font connoître tiam eatenus poscente, quatenhs ad les grands personnages du lieu ou des declarandos insignes loci sive incoenvirons. Sous ce rapport l’histoire de las, sive accolas conducit. Neque Saint-Hubert n’est pas sans intérêt. On porro vacat ejusmodi utilitate Any voit figurer les Ducs de Basse-Lor- daginensishistoria,quippèqusefacta raine, les Comtes de Namur, de Lou- commemorat inferioris Lotfiaringise vain, de Chiny, etc., mais sur-tout les Ducum> necnon Namurcensium ~> Evêques de Liége de la fin du Ixie Lovaniensium, Chisneiensium Comisiecle, sur lesquels nous n’avons pas tum etc. ac Pr^cipuè Leodiensium d’auteur plus ancien que l’Anonyme sub finem XI sseculi Episcoporum, de Saint-Hubert. de quibus antiquior nullus Andaginensi Chronographo Historicus agit.
XXXIII. Nous faisons la même ré- XXXIII. De Gestis Abbaflexion pour les Gestes des Abbés de tum S. Trudonis in pago Leodiensi, Saint-Tron au pays de Liège, écrits a Rodulfo ejusdem loci ab an. 1107 par Rodulfe qui fut Abbé de ce Mo- ad annum 1138 Abbate scriptis nastere depuis 1107 jusqu’en 1138. idem ac de Andaginensi Chronico L’ouvrage est bien écrit, mais comme succurrit judicium. Haud ineleganle précédent il n’est presque rempli ter elucubratum opus, ferè totum que d’affaires monastiques. On voit perinde ac prias in rebus monasticis dans l’un et dans l’autre, que les divi- versatur. In utroque licet observare sions qui régnoient entre le Sacerdoce discordiam quse. Sacerdotium inter et l’Empire sur la fin du xie siecle et et imperium vertebatur, exeunte sse-
