PRiEFATIO.
xlvij
Joannes
Iperius.
rapport qu’elles peuvent avoir, c’est utritmquesitdissirniliterinformatitin. que l’une a été écrite à la suite de Bac unâ re conveniunt qubd in eol’autre, parce qu’apparemment il res- demCodicealterumalteri,adimplentoit de l’espace en blanc à la fin du das nimiriim quee vacuee super erant manuscrit. Nous avons cherché avec paginas, fuerit olïmfortasse subjuncsoin la Chronique de Hugues de Saint- tum. Germanum Hugonis ChroniVictor pour en enrichir notre collec- con sedulb a nobis investigatum est, tion mais nous ne pouvons nous flat- nactos verb illud nos esse gloriari ter de l’avoir rencontrée. On trouve à neutiquam licet. In variis quidem la vérité dans plusieurs catalogues de manuscriptorum catalogis indicanmanuscrits des Chroniques portant son tur chronica nomine Hugonis insinom. On voit même à Saint-Victor en ënita >’ imh in duobus ^otorinse deux manuscrits sous les nos 801 et ^ibliothec^ manuscriptis n° 801 et SU une’ Chronique qui lui est attri- SUchroniconextatHugoni adscripbuée dans le titre. Mais d’après l’exa- tum in titulo perlectum <verb illud rnen que nous en avons fait, il nous a g™uinus Hugonis fœtus itidem ac paru, ainsi qu’aux auteurs de l’Histoire ^terarise Galliarum Historié Scriplittéraire de la France, qu’elle n’est toribus, minimè nobis esse visum est. ̃ point de Hugues ; ou si elle peut pas- Qubd si Hugoni tribuendum omserpour être son ouvrage, nous n’y ninb foret a proposito nostro proravons rien trouvé qui convienne à l’ob- sàs alienum esset, cùm Prseter rw~jet de notre travail. Ce ne sont que enclaturas Patriarcharum, Impedes listes de noms de Patriarches Rois, ™to™m, Regum ac summorum PonEmpereurs, Souverains Pontifes. La tificum aliud nihil quidquam illud chronologie de ceux-ci est ce qu’il contineat. Postremorum sola chroparoît y avoir de plus important. Aussi notaxis tantisper ^timanda, quam ~am~ y avvm IJJLUO lUlPVlLCl11L. L1Ui :Ji :Jl .L Alberic de Trois-Fontaines qui a fait solam Albericus Trium-fontium Mousage de la Chronique de notre Hu- naclaus, > laudans Hugonis Chronigues, ne le cite que pour fixer la suc- con, ad stabiliendam Romanorum cession des Papes. chronologicam Pontificum seriem eapropter usurpât.
XXV. S’il suffisoit pour faire une xxv. Inter Historicos melioris bonne histoire d’avoir beaucoup lu, note numerandus meritb foret Joan- IPE Iperius ou Jean d’Ipres Abbé de Saint- nes Iperius ab Ipra pdtria dictus, Bertin en 1383, pourroit passer pour Bertiniensis Abbas anno 1383 elecun bon Historien. Il assure en effet tus si multa ad hanc laudem comavoir consulté pour composer sa Chro- parandam lectio sufficeret. Testatur nique de Sithieu ou de Saint-Bertin enim se ad elucubrandum S. Bertini niqtie de Sithieti ou de Saint-B *ertin sive Sitltiense Clii-onicon, legerida ex les Légendes des Saints, les Chroniques sive Sithiense Chronicon, legenda ex des Papes, des Empereurs, des Rois de Sanctorum vitis, Chronica RomaFrance, des Dues d’Austrasie et de Bra- norum Pontificum, Imperatorum, J bant, des Comtes de Flandre et de Guines ; Francité Regum, Austrasiorum avoir aussi mis à profit les Antiquités de Brabantinorumque Ducum Flanson Eglise les Annales et les Histoires des drise et Ghisnarum Comitum pervoautres Eglises des Pays-Bas sans comp- lutasse cetera quoque suse Ecclesise ter plus de mille Chartes qu’il dit avoir monumenta, aliarumque Germanise compulsées. Tous ces matériaux de- inferioris Ecclesiarum Annales ac mandoient une main habile qui sût en Historias percontatum fuisse, prseter tirer parti, et sur-tout une bonne cri- chartas mille et ampliùs quas se
