PR^FATIO.
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Andreas
Marchia-
nensis.
Tom. XIII. f
déjà vu le jour sous le titre de Flandre xerat sub titulo Flandriae geneGénéreuse, par les soins de D. George rosae, opéra et stùdio Georgii GaGalopin, Moine de S. Ghislain mais lopini Monachi San-Ghisleniani. At D. Martenne avoit trouvé dans son in Ms.exemplariquousus est, duas Ms. deux continuations ajoutées à la ejusdem reperit Martenius operis Flandre Généreuse, qui rendent l’ou- continuationes quibus magnum huic vragq bien plus intéressant. M. l’Abbé pretium accrescebat. Ignarus MarNoël Paquot qui ne connoissoit point teniani reperti vir cœteroquin erula découverte de D. Martenne, a ditus DD. Natalis Paquot, Flanpris la peine de réimprimer tout ré- driam generosam Galopini an. 1781 cemment ( en 1781 ) la Flandre recudi curavit, additâ Flandrùe et Généreuse de’ Galopin, avec une con- Hannonix Comitum historicâ epitinuation de sa façon qui contient tome, suo marte conscriptd. Dolenun Abrégé historique des Comtes de dum sanè hunc latuisse MarteniaFlandre et de Hainaut. Il est fâcheux nam editionem, quam exquisitis ipse qu’il n ?ait pas connu plutôt l’édition notis illustrasset ; nec dubitandum de D. Martenne, qu’il auroit enrichie quin pro suo antiquitatis studio bide notes savantes. Amateur de l’anti- nas continuationes Flandrix genequité, nous ne doutons point qu’il rosse, legi magisipsâ etiamdignas, n’eût préféré d’imprimer ces continua- potiùs edidisset. Hanc porra minus tions qui sont encore plus curieuses proprie genealogiam dixeris, veriùsque la Flandre Généreuse. Celle-ci que compendiosam appellciris Flann’est pas proprement une généalogie, drue Comitum historiam, in annum c’est plutôt une suite abrégée des 1165 desinentem. Sed in titulo nihil Comtes de Flandre, qui finit en 1165 ; immutandum esse duximus. Minomais nous n’avons pas cru devoir chan- ribus verb angustiis inclusi continuager le titre. Les Continuateurs ont tores, veri nominis historiam nobis pris un plan plus vaste, et nous ont tradiderunt. réellement donné une histoire. Ex Registro Philippi Augusti La seconde généalogie est tirée du decerptasecundagenealogia,<videtur Registre de Philippe Auguste. C’est une nobis inquisitio juridicialis, in qua espece d’enquête qui n’a rien de suivi. nihil cohserens, dissuta omnia. Eam Nous sommes portés à croire que ce proinde ex variis testium dictisconsont les dépositions de différons témoins flatam esse opinamur ibi enim ad car on y revient continuellement aux earumdem personarum origines confiliations des mêmes personnes. Nous ne tinub recurritur, nec divinarefas est pouvons dire précisément quel étoit le qllorsùm hsec tendant, nisi forte ad but de cette enquête, mais il nous sem- dissidium specteat quod anno 1183 ble qu’elle est relative au Vermandois, de Firomandia inter Philippum pour lequel Philippe Auguste et Phi- Augustum et Philippum Flandrise lippe Comte de Flandre étoient en Comitem vertebatur. différend en 1183. Tertia denique mera nomenelaLa troisième est une simple nomen- fura egt qwB quidem conficiendœ clature, mais elle doit suffire pour un genealogiciBt ah an, 793 ad tableau mais elle doit lequel pour un tccbul~ genealogac~, ab an. 793 ad tableau généalogique, lequel s étend annumnm pOrrectx, sufficit. depuis 793 jusqu’en 1280. a,nnzcm r szcf~cit. ~.7 XXI. André surnommé Silvius ou XXL Andréas cognomme SilDubois, Moine d’Anchin et ensuite vius Aquicinctmus Monachus ac Prieur de Marchiennes a composé deinde Marchianensis Prior, breve
