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PR/EFATIO.
tur, laudanda nequaquam cen- j> qui sommes si peu de chose en suerim, licèt ex laudabili zelo » comparaison de lui, il ne nous approcesserint. Et alibi Erat ille » partient pas de juger témérairement zelo justitiag fervidus, utràm au- » des actions d’un si grand homme. tem plané secundùm scientiam » Je pense néanmoins que le biennovit Deus ; nostrae enim parvi- heureux Pape Grégoire (le Grand) tati nequaquam conceditur de » se fût comporté avec plus de cirtanti viriactibustemerèjudicare. » conspection à la suite d’une réconPuto tamen quôd beatissimtis » ciliation si récente d’un Evêque Papa Gregorius (Magnus) in » avec son Roi, et qu’ayant égard molli adhuc teneraque Regis » aux circonstances, il eût dissimulé concordia mitiùs egisset, et ea » des choses qui pouvoient se tolérer quse sine fidei christianse peri- » sans danger pour la Religion. Je culo tolerari potuissent ratione » n’entreprends donc ni de défendre temporis et compositione pacis » ni de blâmer ce que fit alors ce védissimulanda duxisset. Itaque » nérable Pontife. Mais je dis que si quod a venerabili Pontifice tune » l’impétuosité d’un saint zele l’a est factum, nec laudandum esse » poussé au-delà des justes bornes judico, nec vituperare prsesumo. » cet excès a été purifié par la mort Sed dico si vel modicè in hujus- » sanglante et précieuse qui en a été modi a sancto viro per zeli lau- » le fruit ». 1 dabilis paulô immoderatiorem Guillaume de Neubrige fait menimpetum est excessum, hoc ip- tion à la page 104 d’un Concile tenu sum est sacrae, quae consecuta par les soins du Roi de France et du noscitur, igné passionis excoc- Roi d’Angleterre pour examiner la tum. contestation d’Alexandre III et de
Meminit Guillelmus Neubri l’Antipape Victor prétendans à la gensis pagina 104 cujusdam Conci- Papauté, mais sans marquer le tems lii a Regibus Francise et Angliœ et }e lieu où les Prélats furent assemcoactiaddiscutiendamJlexandHIII blés. Nous, avons cru avec les PP.
et P’ictoris de Romano Pontificatu Labbe et Pagi, d’après Gerhohus de decertantium controversiam sed ta- Reichesperg dans son livre de investicitis tempore et loco ubi Prœsules gatione ^ntichristi que ce Concile cohvenere. Banc <verb Synodum To- avoit été tenu à Toulouse l’an 1161, losseanno 1161 celebratam fuisse post cette autorité nous paroît mainLabbeum et Pagium opinati sumus tenant insuffisante pour déterminer le auctoritate ducti Gerhohi Reichers- lieu où se tint ce Concile. Il est bien pergensis lib. I de investigatione certain qu’en 1160 ? vers la fête de Antichristi. At fiuxa nobis ea nunc Sainte Marie Madelaine les Rois de videturauctoritasaddetermmandum France et d’Angleterre assemblèrent Concilii locum. Constat equidem un Concile pour décider cette grande Concilium ea de re ab hisce Regibus question. Mais pour le lieu de cette anno 1160 circa festum B. Mariée assemblée, Lambert t Waterlos et les Magdalense fuisse congregatum, Annales d’Anchin disent positivement quod Bellovaci collocant Lambertus que ce fut à Beauvais, et Robert du JVaterlosius et Annales Aquicinen- Mont ne les contredit pas y lorsqu’il ses, a quibus haud multiim dis- avance que le Roi de France assembla crepat Robertus de Monte, càm ait les Prélats de son Royaume à Beauvais, Francorum Regem Bellovaèi Prse- et le Roi d’Angleterre les siens en
