et les guerres se sont coulez en cet Estat , lesquelles ils supplient tres-humblement vostre Majesté recevoir de bonne part, et suivant les asseurances qu’il luy a plû leur donner, y faire de bonnes, utiles et favorables responses, avant que de separer licencier lesdits Estats.
Le Clergé de France remonstre à vostre Majesté , Que les premiers fruicts de^a-’^nàjorité et de son Règne tres-heureux sont justement deuhs àDfisQ y qui iuy .ajîimcS:idei»5jèm«nt-e6iiseryc son £siat>| ^st3S( tatitideodirers tt pedUeux accidenta Mos Jîqbomie ét’:8a^ iJ^ncluiteidelaReyne} yosr ftle Mere^ voosr fabwttoâa xw.^tenÀ^i^j ans: cpm^ Min’ddci SB paisiblement 3^ lin si grand ft puissant Ro^aiiAner entrer lâBcpipls YbsWé. Majjç^ ne luy en fUm^t^&di àe. ploç agreaiiles que cçûx de la pieté y «âVxinissant ei estaUîssant de.plàs on plus les fon-> 4èmefi$i.jdeusom£glise: et àt la:R^Iigi<;m Catho^ lîqoi»), Apo^dti^e-eLiRomamei^’èt: qh reniettant i é»(Â|rin)6’ èr PjD^ice Ecclesiastîqui? en sa^ premières iillfa^Mtér^a^tiâplcndeurLCe.qtii ne .se. peut mieux acbtiilisoxettaiiimnent.fai^ ’obeïs^^f?^ à ^ f©îi^et:ati3e;emeigiiemea>s: du Saint Esprit , les- ^•l«ïl-noM5.faiç:enttJ^e q.ft.sç»vôîr-par. Jes Con- éMw génpiaux jt?SGivcays et:iofafllibi^ i}^acles.. JEt pllfttthtvlesdâs’JEecksiiètiques de arostflre RQya^mA «lft<«|iteé èm teurt -précédente^ supplications- et très- fe^Akbksirdi^esti^si&itw par plusieurs et dâyerse;^ fols vos j^^cesseurs, tant aux.rEstôts .gâte7
