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fuit ut eœli Umperiem M aéri* perturbationes, undeoritvreibariçrumabundaïUia vd penuria, rignatit «cran prtttù, amuaiim describeret. Sedkctteum Leodiense territorium propriùt respieiant, necuieafrequevliiu repelita /asiidium montant, plerumque prœtermittenda eentuimui. Sanè pretium opéra fuisstt Marlenii editstmem, lacunosam et ’interdum amanutnsium vilio deforvialam,rur*iu ad mamucriptos ccdices catligarepednttlkm invenimus hujutoperis, quodadannum extenditur, eaxmplum manu eœaratttm.
XX VI II. Scribtnda Leodiewium episcoporum historia manum admoverunt variit temporibus pluret hùlorici, quorum opéra in uti/tm corpus coltegil anno 1612, tribut voluminibus in-4.a, JoahngsChapeavilleut, Leodicnsitcanonicut. /Egtdius, Aunœ-vallitin Arduenna silva monachus, postquam Leodiensium episcoporum gesta, ab Hariger o elAnselmodescripta, novis additamentis locupletasset, scribendam ipte suscepitsequenlium episcoporum historiam, incipiens à prœsulatu Theoduini qui Wasoni succeuil anno 1048, et anno 1251 scribere desiit. Quœ de Theoduino el sequentibus episcopis usque ad Radulfum de Zeringen scripsit /Egidius ea defloravimus tomo XIII pay. (304-61 6. A’unc autem historia seriem de yrslis quatuor episcoporum, Radulfi videlicel ejutdrm Sancti Alberti Lovaniensis Alberti de Cuyck, et Hugonis de Petraponte, reprcesentamus, ab anno scilicet 1180 usqw ad annum 1230.
jEgidius variit usus est monumenlis quas sud suppetebant œtate quce cùm necdum vulgala tint, preiiotior inde censenda est ejus lucubratio. Inter hœc prœcipui quos, lacitis nominibus, sequitur auctores, ii tunt tcriplor vita et funeris Alberti Lovaniensis, Remis inter fecti Joannes quoque cognominalus Abbatulus, qui, matris suce Odilœ vitam, necdum editam, tribus libris describendo, gesta suo témpoie in Leoditnsi terntorio luculenter enucleavit. Ex ea Chappeavilleus prolixa quadam fragmenta descripsil, adprobandum in verbis eliam conventre ,£gidium et Joannem Abbatulum. .ilyùliusea qua ad propositum suum faciebant adeà /Uclitcr ex iitdem totidem verbis deprompsit, ut ex eorum narralionibus nec ipsas defunclorjm apparitiones, somnia et visiones,quibus abundanl legendarum fabricatores, pratermittefida duaxrit, quo nos prudenter retecuimus ; sed omissas plerumque ab auctore temporum notas subjecimus, <w oplimo Reineri chronico mutuatas. XXIX. Lobbiensis monasterii diacesis Leodiensit, chronicum, etsi minus amplum, accuratumtamenestinassignanditchronicis rerum notit. Roc est quod in scriplis hujuscemodi potissimùm requiritur.
XXX. Joannes Mabillonius edidit, inter Acta Sanctorum or d mis Sancti- Benedicti sœc. v, pag. 322, ex Lambecii bibliotheca
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Chroniron A,
Lobbicntis curno- Jjgoa* bii,P.m. accu rerui
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Guibertus, de’ combuitiunc Acla GnbUc.niona^ teec
!•«, p. 068.
> le» variations de l’athmosphere et l’ioclemenoe 4 des saisons, d’où naît l’abondance ou la disette n des vivres, et à marquer, année par année, le pris des denrées. Mais, comme ces observations >- météorologiques sont particulières au pays Liégeois, uous le* avons presque toutes retranchées, de crainte qu’étant trop souvent lépétées, elles ne déviassent fastidieuses. L édition de D. Martène o renferme des lacunes et des fautes de copiste la t chronique de Reiner méritoit bien qu’on tes fit disparaître à l’aide de quelque ’bon manuscrit 1 mais nous n’avons pu nous en procurer aucun. XXVUL L’histoire des évéques de Liége a été i composée en diflerens temps par plusieurs aui leurs dont les écrits ont été réunis en un corps d’ouvrage, l’an 4612, en trois volumes in4.% par Jean de Chapeau ville chanoine de Liège, i Gilles, religieux d’Orval dans la forêt des Ardennes, voulant continuer cette histoire, com> mença, vers le milieu du xm.’ siècle^par revoir l’ouvrage de ses devanciers, Hariger el Anselme, auquel il fit de nombreuses additions, et reprit i ensuite l’histoire au point où ils l’avoient laissée ( c’est-à-dire, à l’épiscopat de Theoduin, successeur de Wason, mort l’an 1 048 et la conduisit jusqu’en r 4251, où il cessa d’écrire. Nous avons donné par t extrait, dans notre XIII.* volume pages 604616, ce qui concerne l’épiscopat de Theoduin » et de ses successeurs jusqu’à Raoul de Zeringen. • Celui-ci contient la suite de quatre évêques, de Raoul en partie, d’Albert de Louvain d’All>ert de Cuyck et de Hugues de Pierrepont, depuis 11 80 jusqu’en 1230.
Gilles a fait usage des mémoires ou matériaux qui existoient de son temps, que nous n’avons plus ou qui n’ont pas encore été publiés ce qui rend son travail d’autant plus précieux. Dans le nombre des ouvrages qu’il copie sans les citer, on peut compter la Vie d’Albert de Louvain, assassiné à Reims et celle de Sainte Odile, écrite par son fils Jean, surnommé Abbatulus ou le petit abbé, dans laquelle il décrit, en trois livres, ce qui se passoit de son temps dans le pays de Liège. Chafx-auville en rapporte plusieurs fragmens pour prouver la conformité des deux textes. Gilles les copie si fidèlement, qu’il n’a pas même supprimé les apparitions de revenans, les songes et les visions dont abondent les faiseurs de légendes. Pour [ nous, nous avon laissé de côté toutes ces choses mais comme, la plupart du temps, l’auteur a négligé de marquer les dates des événcmens, nous y avons suppléé en les prenant dans la Ixjnne clironique du moine Reiner.
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XXIX. La chronique de Lobbes ou laubes, au diocèse de Liége, quoique peu étendue, est assez exacte pour les dates. C’est tout ce qu’on peut exiger d’un écrit de ce genre.
XXX. D. Jean Mabillon. au v.’ siècle des Actes des Saints de l’ordre de Saint Benoit a extrait de la bibliothèque des manuscrits de
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