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Tiij PRvEFATIO. Cbronica Koojiti. chroni-Diooy- ̃ hirtorii Vnnc. Ifrilici. Bttvktio ̃ Franvm. avons adjicere, si ex m/tnitis propemedum aucUhribus qui abbrevationes gettorum Franeia Kegum, tam latine quàm galtice,variittem+ poribus edidervnt, è fontli* bibtiotkecanm eductit, aliquid utilitatùtoltectiominoitrm accessurum arbitraremur,VeTÙm epitoimta m scripta, "jejuna pkrwnqve et metndila, pafùm vol nihil conférant ad ëmplùrtm hitiorite illustrationeim. QuAuê autel rationibu* inducti, quœdam hujutmodiscripta, pott exactos primant* scriptaret typis mandandos cenwimus, mmt dicendum. ».Quamquammmplahegum Francorttm chronica gallice scripta, qumsubtituloChronicorum monasteriiS. Dionytii circumfervntur, nihil aliud $int,quoad tempera Philippi Augutli, quàm pura et literalit interpretatio RigordietcontinuatorisejusGuillelmi Armo* rici, quorum scripta in hoc eodem wlvmine continentur mhilominùt eisdem chrmicii locum dare visum est, htm quia fruêtatimin superioribus hujus collée lionis tomis sub eujusque Régis principatu locum occupant, tum etiam ut sinceriorem eorum teœtum oculis subjiceremus, npe ma. codicit biblio~thecœ Sanctae-Genovefoy, cateris multis antiquilfàe prcecellentis, et vernoculœ lingua formtm, tempore quo interprelatio facla est, ïérslanno 1274, accuraliùt rrferentis, est, iiersi anno 127 4, accuralîùs refermlig, proutUtsseruimus in admonitione eisdem chronicit prœfixa, pag. 346.

  • . Siibjicimus pag. 422, fragmentum

ex brevi chronico tcclrtiœ Sancti- Dionytii ad cyclos pa*chalesy ab anno H 80 utque ad annum 1 226 decurrens, in quo inter calera accurate nolantur diet et anni, iive natales, sive emortuales, rrgia ttirpii Principum rodem temporis spatio viventium, 3*. Srquitur è ms. codice 419 S. Victorit Parisiensis fragmentum libri tertii historiée Regum Francorum ab origine genlit usque ad annum 1214. Diximus ih admonitione prfFvia, pag. 423, quibus rationibut inductus scriplor anonymvs ad scribendam compendiosè Reyum Francorum historiam animum adjecerit, et quibus adminiculis eam in rem utus sil. In hoc autem postremo quod edimus fragment/) res à se visât et audilas marte suo denarral.

  • . Porrd tanti prelii habitum fuit aliquando

opusculum istud ut Alphonsus Regis Ludovici IX frater, illud ad usvm suum in vernaculam linguam vfrtendum curarit. Quam interpretationem eruimm ewms. codice regio, inter vernaculos gallieos 10/298, cui «i interpres appendicem adjecit usque ad annum 1226. b’,BrevissimwA eslquodex ms.codicertgio 4937 subsequitur fragmentum, inscriptum Abbrvviationes gestorum FranciteRecum, à varia auctoribus sibi invicem succèdent»bus scriptum.Qui primuseam epitomen literùmandavit,scribtTedesiitannoA 1 37,enw ab’Antenore seu ab origine gentis Trojanœ. ls primum continuatorem habuit, qui gestoajouter tra pfattgnod ooœbre, û nom eoMions iteMi Qu’il rétoltoroitpooriKilrecollecHon quel. ^profil dn»«imiJ«tud«d’«fa«^dWrto.re de écria re ~éeew taat en btip Amor, écrite mSÊtfnu» Mm lut M» fattin au’eofr.oçai^ «mi mteatigBoiVdMslM MMotbàqw. . d**Mft», onlimiinuènt sec. rt peu ̃oignes, «e jettent me peu on point de jour *nr notre histoire, et chargeroirnt ioatUemmt no* pages. Nom «too» poortant fait une exception pour quelqttra-uns de cesabrégéé, et noosdirons pourquoi noo» leur avons donné k préférenoe. I*. Quoique les grandes chroniques de France en langue vulgaire, dites de Saint-Denis, ne soient, quant à la portion qui concerne le règne de Philippe- Auguste, qu’une traduction pure et littérale de Rigord continué par Guillaume le Breton dont les écrits sont renfermés dans ce Tolume néanmoins nous avons imprimé cette portion. soit parce que ces mêmes chroniques ont trouvé place dans les volumes précédeus de notre collection sous le règne de chacun des monarques français, soit parce que nous pouvons en donner une édition plus exacte que toutes celles qui ont été faites, à l’aide du manuscrit delà bibliothèque de Sainte-Geneviève le plus ancien que l’on connaisse et qui représente beaucoup mieux la forme du langage, tel qu’il étoit a Fépoque où cette traduction fut faite, c’est-à-dire, I an 1274, comme nous l’avons démontré dans l’avertissement de la page 346. °. Nous plaçons à la suite, page 422, un fragment de la petite chronique de Saint-Denis, depuis l’an 1180 jusqu’à 1226, dans lequel on a marqué exactement, entre autres choses les jours et années des naissances et décès des Prince de la famille royale pendant cet intervalle de temps.

  • . Vient ensuite un fragment du .troisième

livre d’une histoire des Rois de France, depuis l’origine de la nation jusqu’à l’année 1214, tiré du manuscrit 419 de la bibliothèque de SaintVictor. Nous avons annoncé, dans un avertissemeot de la page 423, à quelle occasion cet auteur anonyme entreprit. d’écrire cette histoire abrégée de nos Rois et à quelles sources il puisa pour la composer. Dans le fragment que nom donnons, il ne copie personne, il écrit de son propre fonds ce qu il a vu ou entendu.

  • . Cet opuscule fut autrefois si estimé, que

le Comte Alphonse, frère de saint Louis, le fit traduire en français pour son usage nous avons trouvé cette traduction dans un manuscrit de la Bibliothèque royate, coté 1 0,298 à à laquelle l’auteur a ajouté une continuation jusqu’à fannée 1226.

  • . Le manuscrit latin 4937 de la Bibliothèque

royale, nous a encore fourni un morceau d’un abrégé trèa-court de» gestes des Rois de France, composés par divers auteurs qui se sont succédés. Le premier remonte jusqu’au Troyen Antenor duquel il fait descendre les Français et finit à l’année 1137. Celui qui lui a succédé, a écrit sommairement la vie de Louis VII, que nous