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PRjEFATIO, «vtf dij par ce passage du prieur de Vigeois, et nous ne voyons pas que, pendant te* si.» et Xfi.’ siècles, les Rois de la troisième dynastie lient réprimé par quelque loi somptuaire le luxe des habits. II parott qu’ils abandonnèrent ce soin aui gens d’église, qui, comme nous l’avons vu, s’en acquittèrent avec zèle et ne réussirent pas toujours à le réprimer. Notre intention étoit, en terminant cette période de notre histoire, de dresser une table chronologique des règnes de Philippe h", de Lpuis-le-Gros et de Louis-le-Jeune, afin de réduire en une seule les tables des matières placées à la fin de chacun des cinq volumes. Mais considérant que t’espace qui restoit dans ce volume. étoit bien étroit pour la contenir, en la donnant dans toute son étendue, ’en latin -et en françois, comme cela a été pratiqué ayant nous, nous avons cramt de dépasser les bornes d’un juste volume. Considérant encore que nos tables des matières, quoique rédigée^ dans l’ordre alphabétique, sont en même temps chronologiques, par l’attention qu^on a eue d’y marquer l’année et le jour des événemens, et que ces tables sont beaucoup plus commodes pour les recherches qu’une table chronologique après avoir consulté la Commission établie dans la Classe d’histoire et de littérature ancienne de l’Institut pour diriger les travaux littéraires de ses membres, nous avons pensé qu’on pouvoit, sans inconvénient supprimer cette table, et qu’il seroit plus utile de mettre à la place une dissertation par nous lue jadis, le 5 juillet 1805, à la Classe d’histoire, touchant le divorce de Philippe I." avec la Heine Berte, et son mariage avec la Comtesse d’Anjou, Bertrfide de Montfort dissertation dans laquelle ou examine, au flambeau de la critique, les historiens anciens et modernes qui ont parlé de ce divorce.

¡ priorem Votietuèm ntmo «Wu» mentionem habet, née ullam à Regibuè tertim $lirpi$ datam novimut, tœouli* Xt 4C xu, tumptuariam legem ai coertendam vntimentorum luantriem. Stuceplam verd ab eit provinciam ̃ illam xtoutioil gettiue viro» ecclesiasticos ted interdum operam perdidiue, etc jatn iietit manifeilttm est. Propositum nobis erat, finem im- f ponendo fuite historim Francicse pe- V riodo, de rebus Phiiippi I Ludovici fl ac Ludwvici VJ.I itidicem hoc loco chronologicum texerc, quo çerum indices ad calcem singulorum quinque voluminum appositos in unum contraheremus Kerùm perspectd spatii quod in hoc volumine residuum erat, angustid dubitare ccepimus an ettrn numeris .suis abso–lutum,}atino ac vernaculo sennone, morë antecessorum nostrorum confectum, intra eas angustd’as continere liceret. sittendentes ctiam nostros rerum indices, quamquam ordine alphabet leo -dispositos chronologicum tamen ordinem signatis eventuum diebus et nnnis, repraecentare, atquc hoc modo compendiosiorem esse ad investi gationem rerurn "t temporum viam habita prias cum dclcgatis nA Schola historicorum imperialis Iiùtituti sodalibus nostris impcria/is ln [,j.i sodalibi.,s nostrif consultationc t>isum omnibus est hujusmodi chrônologicurn indic.em prœtcrrnitti dbsque rei litcrariir incommodo posse ; placuitquc ut ejus loco dissertationcm insercrenuu ; à nobis pridem mense ju(io 1 805 in eadern Schp/a^ lectam, de répudiât a per Regem Francise Philippum 1 uxorr sua Berta, e{ superducta s/ndegavensi Comitissa Bertrada qua in disquisitione historicorum omnium tant iKterum quàm recentiorum auctoritates ad examen juxta4 criticorufn leges revocamus^.