Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome15.djvu/14

Cette page n’a pas encore été corrigée

or rc tiicTiu ucKuimBj nu non «wnw. te** XV. b •tw tenue, l» aaflrag** des mm egne* •senti daaaTAqoitaine «t dut k Pouill*. 4880~% XÎT. U iicEmâa concile d*»» ne te ps La .u.1oa a Smfittate pour terminer cediflere* C» tckùmt, Ordéric Vital, «Kl* fret* !» « fc niiiiifiii émt «<<<« ht~bM. ort rit Mu t)~t))tt~<Ttt OtMM ÀrmdeuwabUt m mêwm <• *d*m les **4* /̃mi «uHkfc’AM mmnéXi «MJbw ^Ê^m JtaMÉ J*anm ^gk t, •••w f^tmfWm upg^^m wmMTW ip* ^BM f M MUII W parti d’Anode^ et r«**v eèkàî flmmtwmt. Parmi ht parumne d’Anadet, le fiua antm* étott Génml, Ivêque d’Aafoaléma, «prait M légat du «far ̃ eiéga m Aqwtalne/*ou* k. pontificats de Paacfael, de Callrte «t d HoWme, etq« .volt entraîné h Duc d’Aquitaine du» le parti d’Andd. H arriva qu’à IWasiott de k mort d’un certain Hervé, abbé de Bedoo en Bretagne, comme naos Favane découvert, on envoya de tous côté», aeloa l’usage, une lettre circulaire pour recommander le défunt ans priera*. det-JHJétek Gérard, profitant de kcércotMtance, attacha à cette lettre nn écrit dam lequel il inMraiaoit tout le monde des raieoos qui devoamf Étire préférer réfection d’Anadet. Cette circolaire éteot parvenue à liège avec le* recommandations que chacun t ajoatoit selon l’usage, un chanoine noouaé Reimbaud, persuadé qu’il y avoit du pour « du contre dans cette affaire, écrivit a ceui qui liraient après lui ce rouleau, qu’il ne fàlloit prendre aucun parti avant que la choie fat bien éckircie et comme les moines de Ctuoi, au lieu de réfuter l’écrit de Gérard, s’étoient contentés de le supprimer pour l’envoyer au Pape tnnocent, il les accuse de témérité et même d’ignorance, C’est cette lettre de Reimbaud, qui donne une idée de ce qui m pasaoit alors, que nous imprimons à la suite des lettres d’Anaclet, au défaut de celle de Gérard d’Angouléme. XV. Viennent ensuite les lettres d’Innocent Il, au nombre de 69. On y voit les affaires de France qu’il eut à traiter pendant son pontificat, qui dum depuis l’année H 30 jusqu’en H 43. Les princiont rapport au meurtre de B. Thomas, prieur de S. Victor de Paris, et au concile de Jouare aux troubles de l’église de Reims, occasioonés par l’érection d’une commune pendant la. vacance du aiég" au concile de Sens, célébré en « 40, contre les. erre ors de Pierre Abc’lard, etc. Mais, pour une plus parfaite intelligence de ces lettre», il faut les combiner avec plusieurs autres lettres de S. Bernard, abbé de Clairvaux, et de Pierre le- Vénérable, abbé de Cliini, adressées au Pape loooceut, qui sont placées plus bat. XVI. Le successeur d’Innocent, le Pape Céiestin H, ne tint le siège de Rome que l’espace de six mois et quelques jours nous n’avons de lui que six lettres concernant la France. C’est lui qui leva l’interdit qu’Innocent avoit jeté sur les terres du Roi de France, a cause du différent qui ’’étoit élevé au •ujet de la nouùnatioto à l’archevêché de Bourges. H le 6t avec tant d’empressement, qu’au rapport de l’anonyme de Morigoi, à la première entrevue qu’il eut avec le* ambassadeurs du Roi, il « leva avec bonté, fit m signa i» enim du câêé da la France, et htm rùdtriit. Si Célestin donna sur cela des lettres, elle* oe sont pu parvenues jusqu’à à nous. ti’1’, jJl~s~l~l~w i~ir Ari f– *» jaiafiawiia al ijwafca. ~» ba»*, àaf«tt &ém*em fitmlu, b» I//I »» WK, hafèat tiabuUttowam t jinmit» )MM))tOf<MtKt))t<M)’M«wtteo<<t<. MM fa* (*iniH|»ii otiian dan «bbntea antreae i _gy^| ^g^ ^MtJhMW^MsA^st J^^l^ > nm’wMottx o-HMtt, q~nt- amM ad LnÂsbîîl FMr» AnadeM, aller Gregori. ̃̃naaiia ̃ miv* m •• vVOTil fVKIMPH JlHBnd

  • etfor>a» mmtalmr drwrdm ^nmwliimmn

JMMUMMMIA AmuT fjHM» *-»- • pi. il i Jftrtnfe mè **m-*mhfic*m, inscAa/t Cmtimf «f Jaaarii, et Aqmtmim Duc*m il ̃ «mis* ^mcM SOTfrnawai. M eitastm t aotalo éê mkù* Imw Jtafcwemù m Sri Ummi»t yrwri wpjwriniilf, nUanj, orrftMM I pmwatioJiM «Wwr * !• sM|Mn centenrfcnluni t «MMMi, Ml w asilem ùwshK», mua pe i annaan «Muw/eatà mm noterai, qmi in Ko i awm **m met ectleti* éùmmfua^ue ne te /serai. Qm> rvùilo ad Ltoétentet perla* ̃ eim aUialiade mère ad rotultm apportèrent XmnUtUm», Leodimtit eccUtitr eonmicut eo$o<l<iuo$rotuituperv»firetadmonfndotcrn suit, nfnin redukià prtrcipttarent judiciwm et Cluniacmses Itmeritatù arovil et ignorm tût, qm eirmrdi l*eU+m, kaud mendaet revinctum, praeidissent, «i toit legmdm Innocmtw trmsmisiuent, Sublato i toque Go rardi libelle, eam Keimbaldi epitloiam, qut temporis illms efoiem adumbrat, poit épisloias Ânacleti reponendam censuiimu. XV. S*bjicim»u Innocrntu II papa emstolas 69, in qvibut vidtre est ea de rihut frondas mgotia eum Ifmpore pontificale sut, ab oimo 4130 usqvé ad cmnvm 1443 tractonda habmt. In Au de ernde Thoma priori» S. Victoris Parisitnsù, H de coneilii Jotrenri de eltgemdo Hemensi archiepisœpo et dissipenda instituta in ttrbe Rementi com munia de concilio Senonemi anno MM ce lebrato, in que Petri AbctUirdt erroret profligati, etc. Sed, ad plen’iorrm auequendan eanm renm tellgentem, legenda quoi damui ntbinde, htm S. Bernardt Clarevallentts abbatis, tum Pétri Venerabilis, ah batà Cluniacensii, scripla quamplure* ad InnocmlivmepitloUr.. XVI. Qtù suctessit Innocentie CetlesHmu II, ù pomti/katvm nonnm sew mensibm el diebus aliqmt gesstt, net ptures ptàm seœ ab eo scriptas de rébus Francicis habewm* epistolas. Ipse taierdicti èmtenliam, ab Innecmtio Il in terras Ludovic* fil, prepter dissidium de sufiieiendo Bitçricmsi arcAiepts-P ~ ~1t lerlptir fi ’t ; copo promulffilam, abolevil legatis i kef» missis ita bénigne adsurgens, inquit anenymus Mmuriniacensù, ut (rtatirn manu eievati sitnum benedictionia contra regionem banc taoeret, et ipMm à sententia interdicti absolveret. Verum, si quas scripsit ea di n tittras Cœkstimu, eai mm habetmu.