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HP te bxxij PRÆFATÏO. Vir« B. Si- ■BPnUCotDIIÎK p. 37 IK* < on%tnu tk >nr monaM. AquieirHien» M, p 40 DrfumÜlp >«i<-CarilaMN -ti- Li|{tTMn*jv4ï. (Vfundation * monaM. Sil-Ti »>ina)om. j». AT) QunMc*‘nN)« ■lonaNt.avNer-U pnvilri^ia, l»(f. 47 d.- .■< - •-Ima N. Ku- (enii de Viaufio, )> 49 Gregorio, VU. Cogcllio Romano à Gregorio an. 1078 celebrato te itUerfirim ait ; rarùm de concifm »« Francia eelebrtUit, ri eaecipiat Tkronmte, «nui 1Q55, eut j-rætedH ïegatat Hildebrandut, ipte gui Gregornts postea VII iictus fuit, prorsus silet : cujus rrrbindesilentium tupplevimm in notis. XF. Siwoi Ornes Crispeienris, (ilius ILdplfi Comitis Vadenrit et Ambitmensu, VHeatsini eliam et Bgrri ad AU>am tantd rerum abundanlid affluebal, ul pene, post Regem |p tota regione uullui dilior nec rebus opulenlior videretur, Hune patemd hœrrdilate ipoliarc agçflrrssus est Philippus I, igne, priedd, gladio iptpetilum. (juæ bella magisquidem indicat quàm detcribilanonymus vita Simonis scriptor : verùm circa malrimonia eidem proposita multus est, antequam ille, relictis omnibus, in Jurensi monasterio S. Eligendi monachus peret. XVI. Fundalionit monaslerii .Aquicinclentit meminere Sigebertut in rhronico ad annum 1079, .Albericuf, et alii. De cujus construclioiie, inquit anonymus ànt^is editus, ea quæ jam ab aliis dicta sun|, iterum minimè narrare tentamus ; sed quæ ab illis omissa surti, rerum gestarum seriem repetentes, brevi eJogio fide plenâ, sicut in chro^ nicis invenitur, scribere satagimus. X II. Notitiam de fundatiom monaslerii Caritaiis ad Ligerim debemus D. Lebeuf, canonico Autissiodorensi, qui ex ms. quodam rodicr regia biblioth. Parisiensis, rujus nunierum reticuit, eam se accepisse dicit. In ea autem nounullu occurrunt, quæ regionis illius et Comitum Nivemensium historiam, tempore Philippi /, Regis Francorum, aliquantulùm juvanl. XVIII. Ex vita B. Geraldi, abbalis et condiloris monaslerii Silvœ-majorisin dioecesi Burdegalensi, edila inter Acta Sanctorum ordinis S. Benedicti, saculo vi, part. ’2, p. 877, nihil decerpendum invenimus, quod ad illustrandam historiam publicam faeeret. Itaque solam damus condili monaslerii notitiam, ab ipso B. Geraido scriptam’. XIX. Çhiniacensts monaslerii privilégia, à Romanis Pontificibus concessa, cùm violasynl Gebuinm Lugdunensis archiepiscopus et iMndrirus episcopus Maliscensis, missus anno 1079 in Franeiam legatuf, Petrus Igneus, Atbanensis episcopus, ea districtè vindicavil, celebrato concilio seu eolloquio cum episcopis, aliunde incognito, apud S. Bemardum in Tarenlatia. Y.V. .S’imoninram labem plurimùm in Francia viguisse sioculo »i, eique exstirpandæ multam operam dedisse tancla Romana ecclesia legalos, ex multis compertum est documentis. Id etiam evincitur ex notilia de ecclesia S. Eugenii de Viancio, quam Albiensi eccleria per timoniam subripuisse accusabantur monachi Aureliaeentes. Gravibas quidem laboral anachronismis hac noti- 011. ab aswnymo rirca medium saculum xu a Amiens, ou vexiu et de Bai^ près le Roi, le seigneur le plut nilippe I." lui fit la guerre da pour le dépouiller de. ses biens ^ant assisté au concile Romain’qui fut tenu ea 1078 par ce dernier Bape : mai», à. l’exception du ’ concile de Tour», do fàn 1055, auquèl présida le légal Hildebrajtd, qui n’est autre que Grégoire.Vtl, il ne dit rien des conciles qui furent tenus en ’ France contre Bérenger. Nous y avons Suppléé dans les note*.tA •XV. Simon, Comte de Crépi, fils de Raoul,, Comte de Valois, d’Amiens, du Vexin et de Bai^ sur-Aube,- éloit, après le Roi, riche de France-. Ptiilipi toutes iesmaniérrs patrimoniaux, ’dit l’anonyme” qui a écrit sa vie, sans entrer dans aucun détail : mais |l s’étend, beaucoup ’ sur les mariages qui furent proposés à ce jeune seigneur, avant qu’il embrassât la profession religieuse auMUonastére de ^int-Oyaùs au Mont-Jura, aujourd’hui Saint-Claude. XVI. Sigebert de Gemblonrs, Alhëric de Trois-Fonlaines, et autre^chroniqueurs, ont fait mention de la fondation du monastère d’Anchin, sous l’année 1079 L’anonyme que nous imprimons en a doruè une relation un peu plus étendue, pour suppléera ce qu’ils n’ont pas dit, mais toujours sur la foi des chroniques. X4TL M. l’abbé Lemoine, chanoine d’Auxerre, a tiré d’un uianuscril de la bibliothèque royale de Paris, dont il n’indique pas le numéro , une notice de la fondation du monastère de la Charitè-sur-Loire. On trouve dans cet écrit des choses assez iiilér. jsantes pour l’histoire du pys el des Comtes d ; Nevers, pendant le régne de Philippe L ^ XVIII. Nous n’avons rien trouvé d’intéressant pour l’histoire publique dans la vie de S. Géraud, abbé el fondateur du monastère de la Sauve-majeure, an diocèse de Bordeaux, imprimée pr ü. Mabillon prmi les Actes des .Saints de l’ordre de S. Benoit. Nous nous contentons de donner la notice de la fondation du monastère, é< ;jnt^ P**" S. Géraud lui-méme. XIX. Gebiiin, archevêque de Lyon," et l.andri, évêque de Mâcon, ayant viole les privilèges du monastère de Cluni, Pierre Ignée , évéque d’Aliiano, fut envoyé en France, l’an 1079, pur en maintenir l’autorité comme émanée du siège apos tohque. C’est pourquoi il assembla, à Saint-Bernard en-Tarentaise, un concile, inconnu d’ailleurs, dans lequel la matière fut agitée en présence d’autre » évéques. XX. 11 est prouvé, pr des actes sans nombre, que la simonie éloit très-commune en France au XI.’ siècle, malgré les efforts que faisoient pur l’extirpr les légats de l’église Romaine. Nous en trouvons un nouvel exemple dans la notice louchant l’église de S. Eugène de Vioiix, que les chanoines d’Albi préleodoieot leur avoir été enlevee, nou saus simonie, par les moines d’Aurillac. Quoique l’auteur anonyme, qui vrvoit vers le milieu du xu.* siècle, ait commis de grave»