' .’*T/ BL te :«0IIW’.to■■ k iMtoÀ^.Dto’tci^é. M1^% l’iMwto ..I»y)È^AWEtoi «to : - la», mé. BYW i.» te pnitear^’m ^ gteSate, to aon rifaot, par Gnitoum. abbé ^ RjfSmi prèato B«ina ; into tt na itit qiMf la Wgyriqaé to*aea vertot danrtraka, «t Ü œ ja paTu-^ to r*DRée 1130. 2.* Arnaud, abbé Sb BoniMTal, «mi a compoaé k ae«»od livre, «»mbmc
- an actema to Pkorra to Ito», «t raconte
fort au loa* lea peioea qn’» ta donna podr ami. KT le pootiMC A loooceot II, son omipélitear. 3.» Geofiroi d’Auxerre, secrétaire to S. Bernard, a Kcueiffi, dans les trois dernie» hvn», les sittioos kspitts remarquables du saint, qui lui avoient coBçflié une grento autorité dans lo monde. Il mile du eoia qu’il ee donna pour réprimer lee héréuae to Pierre Abélard, to Gilbert de la Por-- . iM^mami^Jn ippetflwn aiafii qatoi ÊMÉorétviktà ar res pesta* ’iHpntatalUmsefifkm. S. neodorià pnm vtvent0, ewtflh-V 1* emOoimm Remot, Ubrum jtrimm, eit i ted praemü wtagù fuàmhittarieipitrtee nee ultra amnan ItJK) propreditur. 2.* dmoAiwitoku JeM vedli» in pape Ccarfuiiéfui, pw lAnm aeestndumadjeeit, netrmtienem aiam twordilnr d tehitmate Petri-Lrmtit, et sourit «tW Uboree, nt Romanum pottlificalum Jnnoeentio II vùtdicaret, fiiiè proteqaitur. 3.* Gtu^dut AAitnodorentit, Bemardi notviut, »«> Irüue aupteiMibut iüni» umcti viri gala intignior», piu» magnam et aucleritatem coneitiavermd, penequüur : in kit A reprettit kteraibut Petri Abælardi, Gilbert* PorreIaA, at Benrici Albigentium Vka8.te. ; Midi toMl sr*-” lée, d’un certain Henri, qui fai le précurseur des prarcwtorU agit ; de reformera pace Agit Alb^eois ; de» voyages qu’il entreprit pour réta- Ludovici YU cum Theobaldo Comité Cam-Idif la paix entre le Roi Louis-le-Jenne et Thibtad, Oomte de Champagne ; entre le même Roi et Getefroi le Bel, Comte d’Anjou ; entre le» citoyens de Metz, en proie à la guerre civile, etc. CXIX. Suit une doléance, composée par Laurent, doyen de Tégbse de Poitiers, sur la mort de Gilbert de la Porrée. Quoique S. Bernard Teùt accusé d’enseigner une pernicieuse doctrine, cela n’a pas empêché qu’il n’y (ut comblé d’éloges. CXX. Robert de Thorigni, abbé du Mont-Saint-Micbel, est auteur d’un traité sur les nouvelles institutions monastiques, et sur les abbayes de Normandie, dont il nomme les fondateurs ou les restaurateurs. Dans la première partie, il traite de l’origine des Cisterciens, des Chartreux, de Cfaesal-Beooit, de Tiron, de Fontevrault, de Savimi, de» chanoines réguliers de S. Victor de Paris, d’Arouaise et de Prémontré : mais il s’en faut bien qu’il nomme toutes les nouvelles congr^tions établies de son temps ; il ne dit rien de celles de Grandmont, de Géraud de Salea, de Pierre de l’Étoile, d’Obazine, de S. Ruf, de S. Quentin de Beauvais, etc. Daos la seconde partie, il donne la succession des premiers aU>és de chaque monastère de Normandie ; mais cette nomenclature o’existe pas dans le ms. 5232 de la Bibliothèque impériale, que nous avons consulté. paniæ. Agit ejvtdem eum Gaufrido Alio ComA AnAgavetui, Ueteneium in te invicem diuidentium, etc. Planctos de morte Gilberti Porret. p. 379. De iaiinuutione ordini* moniK-faorum, etc. p. 38t. CXXI. L’an 1155, Louis Vif assemblaà Soissons les comices du royaume, pour établir dea lois de paix qui devoient être observées pendant dix ans, afin, to-il, A faire cesser let haine* mortelles et les viotencetauxquellesseporloienlles voleurs. Nous n’avons pas lm lois qui furent promulguées dans cette assemi^ ; mais, pour y suppléer, noos avons f*»»*mblé, par forme d’appendice, le» différentes sur la paix et la trêve de Eheu qui fuient ■doptees, au xn,* aiède, dana pluaieurs églises : A, • .t*•tP*k pour Twise des Blorins, d après le ms. 152 to la Bibliothèque impériale, qui CXIX. Sequilur planclus Laurentii decani Piclavensis super morte Gisleberti Lterretani, quem quamvis S. Bernardus pemiciosa doctrinæ arcesserit, summis tamen eum laudibus ecriollit Ijaurenlius. CXX. Robertus de Thorinneio, abbas Montis S. Michaelis, tractatum edidit de immutatione ordinis monachorum y seu de novis institutionibus monachorum ; ilem, de abbatibus et abbatiis Normanniœ, et æditicaloribus earum. In prima parte agit de origine Cisterciensium, Carlhusientium, Casalis-henedicti, Tironii, Fontis-Ebraldi, Savigneii, S. Vicloris Parisiensis, Àroasiæ el Præmonstratensium ; sed non omnes noviter inslilulat reeenset congregationes, quales sunt Grandimontensium, (ieraAi de Salis, Pelri de Stella, Obazinensium, S. Rufi, S. Quintini Allovacensis, etc. In secunda parle seriem tradit primorum abbatum cujusque monasterii NormannA usque ad annum 1154 : quæ nomenclalura non habetur in mt. codice 5232 Biblioihecæ imperialit, quo usi sumus. CXXL. Anno 1155 , Ludovicus VU Comiti» regni comilia regni habuit in urbe Suessiorterui, AitSmmstabiliA sunt leges pacit per decennium obter-t^ vatuJœ, ad reprimemium fervorem malignantium, et compescendas violentas pratdonum manus. Verùm eas leges non habemut : igitur è re nostra fuit uartas pacit et treviæ Dei leges, quæ sæculo xu in ecclesiis sancitæ tunl, appendicit modo in unum fasciculum repræsentare ; ac primà quidem leges pacis pro eccletia Morinenti, quas ew nu. codice 152 Bibliolh. imp. Paris, eruimus, in n ij m tt
