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sedem Petri, qui fidem impiignat Pelri ; slomacliatus Herengariws, Abælardi disctjjulus , magislri a/jologiam rdidil multo sale I oris/>ersam , sed ila ronviciis refertam , ul eum ilainnare coactus fuerit Berengarnis, juieuilem’arrimoninm causatus, srque joeo , riuii si’rii) , induisisse geriio. Quis ille fuerit Berengarius inquirimus, cumque patnà Gabahtamm , potiùs qUàm Pictavensem , ul commtinis fert opinio , ex probuùili conjectura facimus. Cæterùm hujus scrijili editionem , multis lll loris cituilam , riiiaru lac imus ope ms. ( ik/ii’is ISÎIIi llihliul/iccir iini>er.alis Parisietisis.

C. Jnanm Sarcshcnriisi dehemus notitiam jinrslaiilisstiiiiii’uiH studii Panstriisis mai/isliAniiii , iiiiiiriiiii S’ /ioliis unir mediiiiii sierulum xn frrjui iilacrrat , (I illclmi de Conchis , llrniunli Caniiilrnsis , Alùci’ici Remensis , Kuliri ti lrtuitriisis , Ro hardi coi/nomeiito KliiS’iqii , Tlirodrnri Aniiiinri , Adanu de l’urru jeu,le , llurdriniii Iriituno’i , Simonis l’r ciio riuiis , l’rin ll)nr , Gilhrrii Porrrluiii . Riilr rli Piilti, ilr. dr (juihus illr lu Mr (ulu.jirt Jihris quatuor.

(.1. l / l’ilissr hts quuijiir trllipunhus sc/io-

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ll’ ib.rh rujusdiiin ud lliluntiin .urrliunrii-’ ■ru, . ijurin nu liât ml iiuiriidus ilmiin illius url’i.i hu/us , pr,>j>osif/s uinj,/is /nuninhiis ,

jiidui I ùienu.’, rjusiijjiHS iiiiiiirrarr siditus

,’iu ! inu’u iti’os. inhr ipuis noiniiiut lushùniii , I r uduiirin, linniiullnin. Il, riiuiiiiliim, Rud. ,i !’iun, p, I n, III. 11, . iiiiiiruiii inriiionu ulilu ii"ii , estai.

< Il l. r nia k, p,jn i.riun.s Jnitarrnsis pair a .hrj sniuis ad historuim l’Iirobnhll Ul C.u’m'ns (.ui’ijiiinuc j’irtinriilui : ni his-’ ulo inimnsaiu I r in , !,■ orln filocrjus Adrùr, .puiui pcvdrcil II.c,,mil l.uduroi U l’niii- , .un R, ‘Ui /iituram

(lll .ké^uiiitiir u, lu iiiiilrui’crsursirjuùs Uuki !,c SU jC r, ,■ 1rs 1 il dr Rriiiiiin nilrr iiKiiui ■ ’ :.“s k hfiirn i( Ciis’C llri ,tniuSii ‘ ’‘CiUiu, fin ! iiiinu ]’.i ruic 11niiii tlonspr- ,d‘ llii’/uiii‘ R’iluinujiulsi u c,’Il I r/i I srojiu . I N h’ijUt’i , rt Illilli) I U !;) I Iiic ilimn l ,rtt-’iiisr I f Ul I ‘ I, ,iir ru l’il nul 11 iliurono. Il)tkiihioiliiriioliliu l’oiu 11 n Pi, lu r IS III faiistiok llili’ii s, ihinli I trc l’I'ùruhu Gilll-

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•‘,j’o, inn ijUi l’olrin nilrr fiirrr inrrstn/ui/ius. ( I /it Sio/rniis , lll lihrllo dr ronsrrra- ■ I,, ,1,-1, ■ !’ sur S. Ih.iiiijsl !, ,lr nu n nirntisridrm , ■ Ù SOC u s,‘ mùlihs . id’i co/rrr est ijUic rs.srt •i.miio u urliiun p,ritiu. t’.diiionrm Andr. (,’,,’1,11 ni fil,,’ niiitii.ru nilr,/i liait suic rcsllt’iruiis r,c Aiiillr,hs Sîuhillonn. ()l ■.j’ohn f‘•icpnmluin r.c rnulii/ne Ile.’ii.s iihti.iiis ,s. Prlri iJicensis ad moiimiuis lolcsliiroc ni Anglia, de miraculis de celui qui occupoit le siège de Pierre. Cette phrtte ëcbauffa la bile de Bérenger , disciple d’Abélani • il prit la défense de son tnailre avec beaucoup de chaleur, mais avec si peu de ménagement et de décence , qu’il fut obligé de condamner son écrit comme une étourderie de jeunesse, prétendant que c’étoit un jeu d’esprit plutôt qu’un ouvrage sérieux. Voulant faire connoitre quel étoit ce per* sonnage , nous donnons des raisons assez wansibles pour prouver qu’il étoit du Gévaudan, plufot que du Poitou , comme on le croit ordinairement. .Au reste, nous avons corrigé, avec le secoun du ms. 18i>C de la Bibliothèque impériale, l’édition de Duchesne , qui étoit fautive en plusieurs endroits

(’.. Nous devons à, Jean de Saresbéry l’avantage de connoitre les meilleurs professeurs qui, avant le milieu du xii.’ siècle , enseignoient à Paris , lorsqu’il y frcquentoit les écoles : tels sont Guillaume de Couches , Bernard de Chartres , Alhéric de Reims , Robert de Melun, Richard surnommé l’Evèque , Thierri rAnnoricain , Adam (lu Petit-pont , Hardevin le Teutonique , Simon (le Poissi , Pierre llélie , (îilbert de la Porrée , Robert l’ullus , etc. dont il apprécie le mérite dans ses quatre livres du Métalogique. CI. t’rs le même temps , les études étoient llorissaiites à .Angers , comme on le voit par la lettre tl un certain Herbert à Hilaire d’Orléans, dans laquelle , pour l’engager à reprendre la conduite (ii’s écoles d’.-Angers , il lui met sous les yeux les avantages que procuroit aux professeurs l’évéque l Iger , parmi h’squcis il nomme Vaslel , Cordon, Raiimilfe , lîoémond , Raoul, Pierre, et autres , dont le nom même ii’est pas verni à notre connoissance.

ClI. Nous n’avons pris de la vie de S. Pierre, prieur de Juilh , (pie ce qui peut servir à l’histoire (le l’hihaud-le-Graiid , Comte de Champagne ; entre autres choses , la prédiction qu’il lui lit, qu’il auroit iinefdle (|ui soroit un jour Reine de France. C’est la Heine Adele , mere de Philippe-Auguste. C.II, Nous plai’ons ensuite les actes d’un procès (pu duroit depuis long-temjis entre les abbayes (le S. I y lien et de la Cliaise - Dieu , au sujet de l’eglrse de Bessan , pour la décision diupiel il fut tenu , en I Ct’i , nn concile à Montpellier, auquel comme h gat du saint Siège , Hugues , arcln’vèipie de Hoiien ; et en 11 .’19 , un autre à l’se/k ipu fut présidé par Cui , cardinal-diacre. ( lÀ’. .Suit la Motue d’un coiieile tenu a Poitiers, d.ius le cloilre de S, Ililaire , par C.t’ollroi , evi’que de C.hartres , légat du saint Siège ; coucile dont nous recherchons l’annee , ainsi (pie le nom des évéïpies (pii V assisti’rent.

CV. Dans

sécralion de l égli

nous (ail connoitre les augmentations (pi il y a’oit l.iiles , el à (piel point etoit , au xn. siècle , la pratique des Beaux-arts. Nous avons complété , d apré’S les .Analecles de D. Mabillon , l èdition de Dueliesne , ipii itoit ineoiiqileteà latin. f.Vl. Nous (loniious ensuite un fragment de la relation des miracles de la Sainte Vierge, adressée par Hainion , abbé de S. Pierre• sur-Dive, aux moines

s «S.X.1I.-.IS .X IIS.

lans le jn’lil écrit qui traite de la con- (le l’église de .S. Denis , l’abbe Suger