de fâire cesser cet abus. Dtns an ’coodle iénn à Roiae en 1075, ii frappe d’icMthèine Ions cena qui à revenir rejceyroient de te mai# des persanes ^laiqwi des évM^ ou des abbeyes ( il dtfefl0 !tde les reeonmdire ^r supérieon «*dr lear obéir en ceueqoelité ; il Wr reUnl b griloe du leiat-siége, et l’entrée de l’éÿise leur fut iotenbte jusqu’à ce qu’ils eussent sbaodbaoé un poste où lls t>*étOH«t montés que par ambitioa i et par le crime de désobéiasence, qu’il eompere à ridoUtrie. ’ Los PrincM souverains, de quelque dignib qu’ils fussent reréms ; ne furmit pas plus mému|« ; ils furent ’ — ès d’un semblable aoatbéme, s lU osoient doo- • m’efuepùito epitnponm, inqtdt ÿuîfi » riavmiacetuù inÇhronicoVirémii, eotuim tUaUpresbytgron
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I et ahbmtum mmÛitiidiM,
m jmila décrets pemtific^io et inetitulione» • cmmien, ne hoetd fwfitom
• prmumereiur, prohtbml tub interminalione • anoAematU, «’eeretum facien* in htee verb i : > Si quis deinceps episCQpatam vd abba tiam de màitn aticujus laicse persoo» ■ iusceperit, nnliatenus inter qtiscopos vét » àbbates habeaiur, oec ulla ei ut episoopo » vel abbatiaudientia concedatiir. Insuper • etiam gratiam B. Fetri et introîtum ecclesue interdicimus, qiioedusqtie locum • *queiB stib crtmine Ism ambitionis qtiàia • inobedientMB, quodestscelusidololatriae, • cepit, deserueril. Similiter etiam de inferioribus eccleûasticis digniutibus coostituimus. Item » si quis Imperatorum, ‘ Ducnm, Marchionum, Comitum, vel quilibet saKulariuui potesiatum » aut personarum, inveslitiiram episcopatùs vd alicujus ecclesiastic» dignitatis dare pnrsumpserit, ejusdem sententiæ vinculo se adstrictiim sciât, etc. » . ner l’investiture d’un évéché, ou deLquetque autre dignité ecclésiastique.
4. Ce décret fut une pomme de discorde, surtout pour la Germanie. Les histoires de ces temps-Ià ne sont remplies que des troubles, des guerres, des séditions et des proscriptions dont il fut la source. L’acbamement fut tel de côté et d’autre, que l’Empereur Henri IV fi ; déposer le Pape comme criminel de lèse-iuaj) sté ; et que le Pape, de son côté, après avoir excommunié l’Empercttr, le déclara déchu du inNne, et fit élire à sa place, par un attentat inouï, un nouvel Empereur, auquel il envoya une couronne avec celte inscription.
Hetçois, Haoutf le diadèMM
Que Pierre reçut de Dieu même.
En un mot, il délia de leur serment tous ceux qui se déclareroient contre l’Empereur Henri. Pendant cinquante ans que dura ce dînèrent entre le sacerdoce et l’empire, l’église fut cruellement décîiirée par le schisme ; on fit usage, des deux cotés, des armes spirituelles et temporelles, et le désordre^ fui à son comble. Il y eut « ti’in un accommodement en 1122, dans lequel il fui’coiivenii que les élections aux nrélatures seroient faites, à l’avenir, en présence do l’Empereur ou de ses commissaires, mais sans simonie ; et que le nouvel élu recevroit l’investiture de l’Empereur, non par le bâton pastoral et l’anneau, comme auparavant, mais par le sceptre. Voyezce que nous avons eu occasion de dire sur cette maliëre, dans les Gestes de Grégoire VII, Urbain II, Paschal, Gélase et Calixte II. 5. L’Angleterre ne fut pas à l’abri de ces querelles ; saint Anselme y eut beaucoup à combattre pour l’indc^ndance ou la liberté de l’église, à ce qu’il croyoït. Mais en France, à l’exception de quelques provinces soumises alors à la dominalion de l’Empereur^ nous ne lisons point qu’il se soit élevé aucun différent à l’occasion «les investitures : la seule question qui ait été agitée parmi les savons, étoit de savoir si ceux qui recevoieut ou qui doniioient l’investiture, étoient hérétiques. Sur quoi il faut voir les lettres dlves de Chartres et de Geofroi, abbé de Vendôme. Quant à nos Rois, ils se sont comportés de manière à maintenir leurs droits, sans blesser la déférence qu’ils devoient à l’église Romaiiqr. Nous en avons la preuve dans la lettre 190 4. Hoc édita décréta, quoi et quanta ’mer- Qum» terini diuidia, tediliones, bella, prosrripiio nés, præsertim in Germania, clamant historicorum pagina. Eà usque res processif, ut Imperatar Gregorium, tamquam majestatis reum,exauctorandum curarit ; Gregorius ccrà Teulonicum el Ualiœ regnum llmrico IV cum suis fautoribus excommunicalo abrogaril, alium ejus in locum inauililo cl leinrrario ausu suffeceril, missd eidem roroiid < ui erat insrriplum :
P«r» dedil Peiro, Petru» dUdcin» Riylulfo Denique omnes llenrico Impcralori advcrsaiiles absolvit ab infideliinte el jierjurio. Itissidenlibus itaque sacerdotio et tmperio, Mis quinquaginta annis dira schtsmate vcxala fuit ecclesia ; tpirilualibus el cieilibus armis ex ulrarnse parle cerlafum, concutcafa omnia . ac tandem anno 1122 hune finem acrepit controversia, ut electiones episcoporum et abbatum deinceps in prcesentia Imperatoris vel legalorum ejus absque simonia fièrent, et ut electus regatia per sceptrum, non verO, ul antea, jter baculum pastoralemet annulum, ab Jmperntore reciperel. Vide Gesta Grryorii I II, I rbani II, Paschatis, Gelasii et Cali.rli ilidem II, <j fioèir adomala.
5. Ab bis contcntionibus tmmunes non fuerunt Angli, S. Anselmopro ecrlrsiœ librrlate, ut pulabat, viriliter deccrianle. At in Francia, si provincias quasdam excipiaslunc Impcralori sabjectas, nulla invesliturarum occasione legimus rxcilata fuisse dissidia ; sed jurgia lanlùm inter eruditos, an qui ipvestiluras sivc durent, sive acciperent, estent haretici. Qua de re vide Ivonis Carnotensis et Goffridi abbalis Yindocinensis epistolas. Reget itaque nostri ila te géuerunl, ul et jura sua constanter relinuerint, et nihilominus debitam Romana ecclesia tevcrenliam non læsrritd. llujut rei argumentum est epislola Ivonis 190, T.l qud Patchali II ila de causa Radulfi Viri Cur
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d’IVes de Chartres, dans uquelie il rend comptes d^, electi Remensis archiepitcopi, scribil :