toutes ne sont pas encore déchiffrées, quelques modifications des signes assyriens rendant la lecture de ces documents pétrographiques assez difficile. De tous ces monuments écrits, le plus remarquable est celui recouvrant de ses cinq cents lignes une des parois du piédestal de rochers qui porte la citadelle de Van, attribuée par la légende à la fabuleuse Sémiramis : il raconte les hauts faits d’un roi Argichtis Ier qui, pendant une éclipse de la puissance assyrienne précédant le règne de Tiglatphalazar II (Tugultipalesharra), poussa ses conquêtes jusqu’à la Méditerranée syrienne.
Dessin de G. Roux, d’après une photographie.
L’ordre géographique dans lequel se succèdent ces inscriptions montre quelle était la direction des voies historiques : par la forme même des plateaux et des massifs