cateurs ? Et que dire de ceux qui seraient fort bien accueillis par leurs manants, habitués à la condition de non-propriétaires, mais qui, uniquement soucieux de toucher leurs revenus, se déchargent de tous soucis de gestion sur des économes, administrateurs ou gens de loi dont la gérance n’est pas non plus désintéressée.
La statistique de la propriété foncière est pleine de lacunes, d’obscurités et de contradictions. Ici, on a indiqué, département par département, le pourcentage de la superficie qui est constitué par des « cotes foncières » d’au moins 40 hectares. Il est possible qu’en certains districts montagneux, quelques-unes de ces cotes se rapportent à des biens communaux, ce qui vicierait les données de ce tableau. D’autre part, une grande propriété pouvant être composée par deux ou plusieurs petites cotes, il est probable que tous ces chiffres sont trop faibles.
Si d’illustres agronomes, qui étaient en même temps de grands pro-