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occupation des terres laurentines

Samuel Champlain n’étaient pas même assez ingénieux pour savoir trouver leur nourriture en ces terres fécondes, au bord de ce fleuve poissonneux : quand les provisions envoyées de France venaient à manquer, la famine régnait et le scorbut emportait les colons.

N° 395. Embouchure du Saint-Laurent


En dehors de la vaine recherche de l’or et du commerce des « pelus » ou pelleteries, les nouveaux venus ne connaissaient aucun métier et n’avaient aucune initiative. Il fallut le génie du Parisien Hébert pour