Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
443
occupation des terres laurentines
Samuel Champlain n’étaient pas même assez ingénieux pour savoir trouver leur nourriture en ces terres fécondes, au bord de ce fleuve poissonneux : quand les provisions envoyées de France venaient à manquer, la famine régnait et le scorbut emportait les colons.
N° 395. Embouchure du Saint-Laurent
En dehors de la vaine recherche de l’or et du commerce des « pelus » ou pelleteries, les nouveaux venus ne connaissaient aucun métier et n’avaient aucune initiative. Il fallut le génie du Parisien Hébert pour