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8 GRAMMAIRE

Quelques-fois l'on altere quelque Ton «IrtM qiklque jkùrf du tdnpt da vci bt » comme fkfémlf^ pout./ ? V0éErémé9 , hfHrsMnê,

Apief le 6iiw ; fîfWÏ* , iir#»i»^ , &CV oti ion redouble la lettre du proiio^.

AucçWorereoCtfMMNpdur mièifilh pour ii i^ftmtH^vifii.

Ces âutrts foof confidertblcs , â»-N’ Ptonomi «UmonftrttlA. Egli% (c mec pour noftre dcmonffracif r« i #f/i ^ ëttffàuttt c’cft bien fkic.

C07«/,celuy :rtf/W, celle :c«/#r», ceux de celles. Ccluy-cy Ce rapporte {cttlement aux perfonnesti & ne (ècoadiuic point aucc vn.fubftantif. èttlt» , cduy - U : ^W£4 , Cctle-li : pouc miitdiêmê^v ^fMmÊi pour Véi ' fMr/fi> ceux-^U : fW/Sr#» cellcs-U. Cet tiMf. r I autrcfe rapporté aux pet’ onncs , &

Ou ki Mrouue Cbuueoc auec des ; autres cho(ès,,5c uc s’emplpve iatnats ^rerbcf qui 0<n apparence de rcBéchis, ; que pput vne cho^è eUoignec. i^toutmi«UinUi$eteoé aucunement |. ^«riKt au genre neutre, (e rapporte lrè»s ;v.g.iir#«ii(rWdbiil#,ifnefeay j à noftre pronom et, * , quel dire : »•• ù^mtl^pféie^’à :nc • J^ifi, f ««/’«» ÔCfwi, fe mettent (^lir ce qu’il fait : cnïitifnrt l’aoy ’ au fingulier, & fc rapportent à CêUi, ftulem^ot. » ■ ’ . ,1 q^^ t’epccnd feulcmcnndes perfonnés

Pronoms relatifs

J^jU , ccftui-cy~ : ^meftd , cette-cy : f«^cettx-c|r : ^itelhf>ctïc^<j. Ce pronom exprime vue cho(è preiènte^ de iamais yne efloignée : il le rapporte aux perfonne», 6c autres choies généralement.

j^^ ; au (iogulier iraot autant qiae c^f ;céftui-cy : U> fc tippofte aux per(bnnes« ’

C#rr/ ?», vaut, cecy, 6c ceftui-cf.

^9$^t ceftui-’cy ,.poUr les pcrfoor nà.

Ctfmi^ çeftut-cy : f#/ ?« , cette-cy i c*- ^ j ?#r» , ceux cy , ^ celles«-cy : Il $*cn-^ tend (èutenient des peifiMinet ; «  Ci* >ce, 6e cela. rPronoms po(Ièififf^> MUt mon > U. mien :Nit«4 » ma, 6c ’^ . • Prohomi relatifi^

//,/•,/#, !&, 6c les ptcrtioms pcrfon^ nels comon^feiuftotaolieudcre-’ Utife.

C1^» eft rekiif de COIS ge»^t ^ iiombfci.ll ta JwOî io|fcrrogtfîf, <V> quoy t II fe mec qudquesfois pour la conioDâion ftr^n , parce que ; CIh ciÀr.q^oyque ;

CIM, eftordikiairemenc interrogatif, c fe rapporte eux perfonnjss fcuUment, comme noftre f«f Fxançoit^ U a force d*aoceoedent 6c dercUcif. Cfcfi»iirf «r,eft noftre f MCvivfM.Ciywirfiff ^iquelconque.

- OiitU oblique de «Ir^ : ^ c»é i»c» f», mtmèJmlm « icc 6c alors il a quelque force’ 0e ilemonftcatif. t ^«(if^ eft dé genre comçian v il fc décline pat If laoyen des atcicks qui ! mienne : mtei^ mes , ic miens : «m>, mes ,6c miennes. Ainfi ,fiM,ton>6c ùcn : M*i,ta , U tienne : iuùiy ces, 6c tiens :i»«> tes, U tiennes. Varies /«# de mcfine y (otty^ fien y 6c<y fonr diiccrnèr fon genre : Il a pour pluf :ierfi»tf/f.v Nff i fe sapportB. à Qpftce relatif,

Pronoms possessifs

Nostre