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tout-à-fait bien son rôle de maîtresse de maison, me prit l’oreille et me souffleta en me disant, comme sa maman lui avait dit la veille :

— Eh ! salope, tu vas en avoir dans ton sale cul.

Alors, d’un coup de genou, et comme je ne me défendais que pour la forme, elle me fit m’étaler à plat ventre, le derrière en l’air ; trousse mes jupes, me met les fesses à nu, puis leur lance un coup terrible : c’est là que je l’attendais. Au moment où elle me frappe ma chair, je lui lâche, pour me venger, un pet qu’elle a certainement senti et entendu. Elle se mit d’abord à rire, mais voyant que, comme un vieux roussin, je continue ma musique du derrière, elle devient furieuse et me cingle les fesses sans interruption, tandis que je lui réponds à chaque coup par une nouvelle explosion de mon postérieur. À la fin, sur un coup trop fort, je me relève brusquement et je la fais tomber. J’allais lui rendre la correction qu’elle venait de m’administrer lorsqu’elle me demanda sa grâce d’une façon suppliante. J’avais relevé ses jupes, et le spectacle que m’offrait