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La Crinoline


lui répond par une claque. Mademoiselle lui lance une ruade. Riri lui botte le fessier. Ils se prennent aux cheveux, se griffent, se mordent, se donnent des coups de poing. Nous les séparons, mais, comme Mademoiselle faisait toujours sa renchérie, Clémentine, qui venait d’avoir une roulée de sa belle-mère et la sentait encore dans les jambes, propose, histoire de se venger, de flanquer le fouet à Mademoiselle. « C’est ça ! c’est ça ! crient toutes les filles et les garçons qui mouraient d’envie de voir le derrière d’une personne du monde, fichons-lui le fouet. » Nous entrons dans un autre rince-gueule, du genre de celui que nous venions de quitter, et, au milieu de la cour, la demoiselle a beau jouer des pieds et des mains, ses cotillons et sa chemise sont bientôt par-dessus sa tête, et nous y allons chacun d’une claque sur sa fesse, avec un entrain tel qu’on nous aurait payés nous n’y aurions pas mis plus de cœur ! Quand son séant a été