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La Mariée fouettée


par des coups de pied et des coups de dents, elle essayait de se défendre. Je parvins pourtant à la lever de son fauteuil, à la jeter en travers du lit, à la retourner sur le ventre ; en dépit de ses jambes qui les tenaient serrés entre leurs chairs, j’arrachai de sa peau jupon et chemise ; je dénouai et abaissai jusqu’à ses chevilles son pantalon, puis, m’asseyant à côté de son derrière, je lui enserrai la taille, et, de la main restée libre, je commençai à faire prendre à ses joues inférieures l’empreinte de mes cinq doigts.

Ce qui me surprit, c’est que sa main, durant toute la correction, demeura obstinément plaquée sur le haut de sa fesse droite, et que je ne pus l’en chasser. Enfin, j’avais un champ assez vaste pour la châtier ; elle devait sentir mes coups, et elle le témoignait bien par ses soupirs et le battement de ses jambes.

Quand ma colère se fut un peu dissipée,