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reté des hommes le procédé d’une coquette adroite à qui une toilette savante ménage des tromphes plus assurés ; mais la vérité connaît rarement autant d’art, il lui coûte trop de recourir l’artifice.

Si ce léger essai d’une plume novice décèle la faiblesse de son auteur, on pourra dire du moins : Il consacra ses premiers efforts à la cause des mœurs ; et je me trouverai bien plus flatté de ce témoignage, que de quelques applaudissemens donnés à un vain savoir ou à une éloquence oiseuse.


FIN DE LA DEUXIÈME ET DERNIÈRE PARTIE.