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Ainsi, vraisemblance dans les œuvres de I’Art, sensations qui en résultent, influence de ces sensations sur les mœurs, et moyens de diriger cette influence ; telle est l’analyse de mon plan. Tout m’a paru s’y tenir en effet et s’y rapporter au but de l’ouvrage ; et la dernière partie, qui traite, spécialement de l’influence morale et politique de la Peinture, n’étant que la conséquence naturelle et essentiellement dépendante de mes recherches précédentes, les éloges que mes juges ont donnés à cette partie semblent refluer en quelque sorte sur le reste de mon travail. Au reste, ce n’est pas sans avoir bien pesé la nature de la question que je me suis déterminé à la traiter de cette manière, et je croyais l’avoir abordée en effet sous le vrai rapport d’utilité sociale dont elle