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sai. Mais comme ce journal peut n’être pas lu par tous ceux entre les mains de qui mon livre peut tomber, je répéterai ici une partie de ces observations.

Je prie le lecteur de bien peser mes raisons ; je le prie sur-tout de croire que je suis bien éloigné de vouloir critiquer le Rapport de la Commission, à l’impartialité duquel je rends toute la justice qu’il mérite, et que je songe d’autant moins à me plaindre de la place qu’il m’a assignée, que je ne m’attendais point à ce succès, que je ne le méritais pas et que j’en ai témoigné ailleurs ma reconnaissance. Ce que j’ai à dire ne se rapporte qu’à mon Mémoire considéré en lui-même, et nullement au jugement relatif de la Commission ; je ne veux qu’exposer mon