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compte des motifs qui me portent à publier cet ouvrage. Le Rapport en loue la partie principale, celle qui traite plus particulièrement de l’objet de la question ; il attribue un caractère de finesse aux observations de l’auteur, et il ajoute que son travail contient de très-bonnes vues. Si j’avais mérité un tel suffrage, j’aurais dû m’en trouver d’autant plus satisfait que la critique m’a paru d’ailleurs un peu sévère, et qu’elle est d’une nature à bien faire sentir tout ce qu’il y a de flatteur dans la mention accordée à mon Mémoire. J’ai déjà publié quelques observations à cet égard dans le N° 25 (10 prairial an 6) de la Décade philosophique, littéraire et politique ; les auteurs de cet excellent journal ont bien voulu se prêter à ma demande en insérant la lettre que le leur adres-