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troisieme ombre.
Autour de moi la vie avait fait tant de nœuds !
quatrième ombre.
Le temps avait brisé les miens : la Mort avide
Chaque jour sous mes pas creusait un autre vide,
Et j’ai vu de mes bras s’en aller tour à tour
Épouse, amis, parents, ravis à mon amour.
J’ai bien pleuré ! pourtant je pouvais le comprendre ;
Mais moi-même à mon tour, dans la tombe descendre,
Moi-même ! ah ! c’est affreux, et je ne le veux pas !
l’ombre du roi.
Gardes, entourez-moi ! faites-moi de vos bras
Un rempart ! Ma couronne à qui sauve ma vie !
(Il porte la main à son front.)
Hélas ! où donc est-elle ? elle est évanouie !…
l’ombre du riche.
Pour un jour seulement tous mes biens, tout mon or !